FEAR AGENT
Un dernier adieu
Après être extirpé de prison par Mara, Heath Huston, qui était au bord de l’autodestruction est emmené sur Terre où il rencontre d’autres Fear Agents. Une fois de retour sur la base lunaire il découvre que sa femme, qui est à la tête du gouvernement terrien a refait sa vie. Au plus bas, il sort de manière peu cavalière de son alcove, quitte à faire imploser toute la base. Et Mara le retrouve au bord d’un falaise, triste…
Il en profite alors pour révéler la véritable histoire des Fear Agent.
Par eric, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782355740299
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Notre avis sur FEAR AGENT #3 – Un dernier adieu
Cet album vien achever l’histoire des Fear Agent, et une fois terminé sa lecture une grande frustation se fait sentir. Pourquoi? Tout simplement parce que la bobine de fil qui a commencer a être dévidée à la fin du tome deux ne trouve pas d’écho ici. C’est dommage car cela laisse la place pour un nouveau tome. Sinon ce nouvel album tranche énormément avec les précédent car l’action se déroule sur une Terre dans l’ambiance de la Guerre des Mondes. Une Terre où Rick Remander lève le voile sur la création du groupe des Fear Agent. On y découvre en fait que les Dressites étaient uniquement sur Terre pour vaincre l’invasion Tetladienne. Mais tout cela est bien futile pour Heath qui y perd toute humanité dans ce conflit.
Pour achever ce tome on retrouve Tony Moore au dessin. Si on n’a pas vu de grosse différence avec l’intérim de Opeña sur le tome 2 cela fait plaisir de retrouver le dessinateur originel qui montre une autre palette de son style sur cet album qui se déroule sur Terre et essentiellement dans le desert texan. Mais il donne ainsi l’opportunité de dessiner plus de personnages terriens et montre donc des gueules cassées qui deviennent presque les héros de l’humanité.
Ainsi, Fear Agent s’achève sans avoir levé le voile (même si on en a une petite idée finalement) sur la trahison de Mara. Mais néanmoins, on découvre les origines de ce groupe d’élite et rien que pour cela cet album vaut le détour. Mais au final, c’est plus Mara qui se montre humaine que Heath qu’on abandonne plein de mélancolie devant les pertes des ses amis et face au crime qu’il a commis.
Par Eric, le 7 janvier 2009
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