FILS DE LA LOUVE (LES)
La Louve de mars

Luca Marini, étudiant en archéologie, vient faire des recherches à Rome avec la recommandation du professeur Ferrare. Il a ainsi accès aux réserves inaccessibles du musée. Sur une statue, il découvre un symbole, une tête de loup avec une dague dans la gueule. En sortant du musée, il croise une jeune fille qui porte le même symbole. Ils se revoient le lendemain et finit la nuit chez Francesca.

A son réveil, il se retrouve dans l’antiquité. Il empêche un voleur de partir avec la bourse du sénateur Caïus Honorius qui en remerciement va faire de Luca son secrétaire. Il fait la connaissance d’Aurelia, la fille du sénateur. Une nuit, il découvre une réunion secrète. Tous les membres portent un masque de forme de tête de loup et font des sacrifices humains. Il apprend que cette secte projette d’assassiner Jules César.

Par fef, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur FILS DE LA LOUVE (LES) #1 – La Louve de mars

Encore une nouvelle série dans la collection polyptyque qui mélange un peu de fantastique avec une ‘enquête’. La lecture de ce tome 1 m’a fait penser à halloween blues de la même collection. On y retrouve un peu le même fonctionnement. Le fantastique est utilisé pour amener l’enquête qui se finit à la fin de l’album. Par contre les personnages et le thème sont vraiment très différent.

Ici, le personnage est pris dans une aventure qui le dépasse totalement et il fait ce qu’il peut pour s’en sortir. L’histoire dans l’antiquité est agréable et on suit Luca sans trop se poser de questions. Je ne suis pas un spécialiste de la Rome Antique mais la façon dont elle est représentée, donne l’ambiance à l’album. Et le dessin réaliste et les personnages expressifs permettent de rentrer facilement dans l’histoire.

Par contre pour le fil rouge de la série c’est totalement différent. Tout le long de l’album, il y a plein d’éléments qui sont donné au lecteur mais pour l’instant ils ne semblent pas reliés entre eux. Et il semble que les ennuis de Luca ne font que commencer.

Par Fef, le 20 juin 2005

Publicité