FLEAU (LE)
Les survivants

Larry Underwood a retrouvé Rita et ils ont réussi à sortir du tunnel qui les emmène hors de New York. Là, à l’extérieur de la ville, ils vont se rendre compte que le mal a touché toute l’Amérique. Des morts partout, un spectacle de désolation. Mais ils ne perdent pas espoir et vont tenter de trouver d’autres survivants.
Frannie Goldberg et Harold Lauder, eux aussi, décident de quitter leur ville et tenter de trouver autre chose. En chemin, ils vont croiser Stu Redman qui est parvenu à sortir du Centre de maladie contagieuse.
Nick Andros, pour le moment, n’a pas quitté la ville de Shoyo.
Quant à Randall Flagg, il continue de recruter ses adeptes…

 

Par berthold, le 7 février 2011

Notre avis sur FLEAU (LE) #4 – Les survivants

Delcourt poursuit donc sa quête de nous proposer l’adaptation en bandes dessinées du chef d’œuvre de Stephen King, Le Fléau.

Quatrième tome déjà qui nous propose de découvrir ce qui arrive aux survivants, ceux qui ont échappé à la maladie. Car, comme vous le constaterez, même si certains ont résisté à la maladie, la mort les attend au bout du tournant : ici, un stupide accident avec une arme à feu, une morsure de serpent, un autre d’un infarctus et un tel de la gangrène. Bref, même pour les survivants, l’avenir s’annonce difficile. C’est donc pour cela qu’il leur faut tenter de se regrouper.
Nous sommes témoins aussi des moments difficiles que passent certaines personnes pour ne pas mourir de faim comme ce Lloyd Heinred qui, enfermé dans une prison, essaye de ne pas mourir de faim et va devoir…bon, vous le constaterez par vous-mêmes lorsque Randall Flagg viendra le sortir de là.
L’action avance doucement dans ce tome qui s’intéresse toujours aux divers protagonistes. Roberto Aguirre-Sacassa continue de faire du bon boulot sur cette adaptation.

Le graphisme de Mike Perkins, servi par les couleurs de Laura Martin, rend hommage à l’oeuvre de King. Le lecteur y trouvera quelques scènes fortes, choquantes ou marquantes comme la mort de l’un des protagonistes qu’il n’oubliera pas de sitôt.

A la fin du tome, le lecteur se rendra compte qu’il est accro à la série et il lui tardera de lire la suite.

 

Par BERTHOLD, le 7 février 2011

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