FLUIDE GLACIAL
Septembre 2011
C’est la fin de l’été et pourtant, le soleil continue à briller de ses mille feux dans la rédaction des Editions Audie. De fait, la chaleur ambiante ne tarit certainement pas l’esprit fécond de l’équipe qui y œuvre et qui, une fois de plus, de son naturel légendaire et de son verbe haut, réussit à faire couler son substantifique et pénétrant fluide. Le résultat est là, dans ce 423ème numéro porteur d’une thématique variée et pleine de promesses et véhiculant humour corrosif doublé de réflexions cisaillantes dont on ne peut que se délecter.
Par phibes, le 9 septembre 2011
Notre avis sur FLUIDE GLACIAL #423 – Septembre 2011
Le mois de septembre annonce évidemment la rentrée mais aussi, pour ceux qui ne quittent pas du regard les étalages de nos chers buralistes, la sortie du 423ème numéro du magazine que tous les gens de France et de Navarre (et même au-delà) ne manqueront pas de voir fleurir.
En effet, pour l’occasion, les joyeux drilles de la rédaction ont mis les petits plats dans les grands, au regard tout d’abord du diptyque de couverture exceptionnel signé Solé (regroupant une grande partie des personnages et univers qui ont pris place dans cette boutique en folie) que les lointaines générations futures auront à coup sûr l’occasion d’apprécier dans les plus grandes galeries d’arts baroques. Répondre à cet appel culturel devient alors inévitable, permettant ainsi de découvrir, au sein de cette revue un gisement abondant d’articles et d’historiettes dessinées des plus originaux et acidulés, ça va de soi.
Difficile de faire la liste tant elle est longue (voir le sommaire). De l’édito de Deup et Gaudelette et ce pauvre Tinlot jusqu’à la sanglante parodie de Desperate Housewives, la substance y est. Chacun des artistes y est allé de son imagination la plus fertile, de sa prose incisive. Irrésistible comme instructive, cette dernière touche à tous les domaines, dans des élans scénaristiques de haut vol comme de rase moquette, dans un éventail matériel qui peut aller de la vie quotidienne, à la fiction délirante en passant par l’Histoire et le pastiche.
Un évènement haut en couleur et en dérision à ne manquer sous aucun prétexte !
Par Phibes, le 9 septembre 2011
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