FORÊT (LA)
A vida y a muerte
La tempête a fait des ravages. Le Moine et le Chevalier Vert, qui étaient partis retrouver leur armée pour la ramener dans leur pays, se sont retrouvés au milieu de la tourmente. Ils sont séparés. Le Moine se retrouve dans des filets de pêches tandis que le Chevalier échoue sur une plage. Il est fait prisonnier par des soldats espagnols. Le Moine prie pour retrouver son ami car, sans lui, il n’y a plus aucun espoir pour sauver le village…
Par berthold, le 15 janvier 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782203022485
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Notre avis sur FORÊT (LA) #3 – A vida y a muerte
La Forêt a débuté comme un one-shot, mais est devenu, vu son potentiel, une série. Je trouve que c’est une des plus originales et des plus astucieuses que j’ai pu lire ces dernières années. Vincent Perez, le scénariste, est bien sûr celui que vous connaissez par le cinéma. Mais je ne vais pas revenir là-dessus, je vous en ai déjà parlé.
Pour ce tome 3, Vincent Perez imagine une suite à la hauteur de nos espérances. Il nous éloigne de la Forêt pour nous emmener vers d’autres rivages moins cléments pour nos deux compagnons. Nous allons les retrouver en plein désert, là où une terrible bataille se prépare. Nous allons apprendre que le Chevalier Vert est un homme d’honneur; alors qu’il va être mis à mort, il va devoir le salut à un homme à qui il avait sauvé la vie des années auparavant et qui, pourtant, est son ennemi.
Si Perez a commencé son récit à partir de légendes celtiques, cette fois-ci, il nous entraine dans un autre genre. Le lecteur n’est pas au bout de ses surprises avec un scénariste comme lui.
Perez nous entraîne donc dans une histoire très prenante, rythmée, où le lecteur va être emporté par cette aventure qui, d’ailleurs, laisse beaucoup de place au dessin. Les amateurs du style de Tiburce Oger (dont je fais partie) seront comblé. L’auteur de Gorn s’en donne à cœur joie avec de très belles "pages pleines", ou encore avec des scènes chaleureuses comme celle dans le désert où les personnages discutent autour d’un feu. Mais là où Oger reste impressionnant, c’est dans les scènes de batailles tout en bédéscope. Ces passages sont parfois même violents.
Ce que j’aime bien aussi chez Oger, ce sont les personnages proches souvent de la caricature, du cartoon. Regardez donc le Chevalier Vert en "slip" qui a un aspect assez "caoutchouteux".
La Forêt n’est certes pas présente dans ce tome, mais qu’importe, A vida y a muerte est encore une très bonne histoire.
Au fait, vous voulez découvrir comment un certain Miguel Cervantes a été inspiré pour son Don Quichotte ? Lisez donc ce tome 3 !
Par BERTHOLD, le 15 janvier 2010
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