LES FORETS D'OPALE
Un flot de lumiere

Opale est en proie à la dévastation, la folie de Kamphre a ouvert les portes de l’enfer qui depuis le havre de lumière déverse des hordes de démons sur les forêts et les villages. La planète est en proie au chaos et le petit groupe de résistants entrainés par Tara semble bien dérisoire face au flot ininterrompu de monstres.
Seul Darko est capable de détruire ces démons grâce aux verres fondus avec la pierre noire, mais quand il en tue un, dix nouveaux arrivent, la seule solution serait de refermer les portes de l’enfer.

Par olivier, le 3 janvier 2016

Notre avis sur FORETS D’OPALE (LES) #9 – Un flot de lumiere

Comme si les démons ne suffisaient pas à leur malheur, les villageois sont persécutés par les soldats de Kamphre qui, sous les ordres de prêtres de la Lumière déportent des villages entiers.
Ceux qui ne se soumettent pas sont massacrés, leur village brulé et leurs terres empoisonnées.

Alors que Kamphre est dépassé par sa création, incapable de dominer les démons, pour Urfold, seul un Titan peut refermer les portes qui ne cessent de vomir leur flot de créatures assoiffées de sang.
Mais le seul Titan encore en vie est resté dans le premier cercle de l’Enfer. Si refermer les portes de ce monde ténébreux relève de la gageure, faire revenir quelqu’un du premier cercle relève là aussi de la mission impossible, et pourtant il n’existe aucune alternative avant que l’Ordan ne soit totalement anéanti.

Jamais le destin du monde de DArko n’a été aussi prêt de sombrer dans le néant et il lui faudra non seulement beaucoup de courage mais aussi de l’aide, parfois inattendue, pour se lancer dans cette ultime tâche.

Ce neuvième et ultime tome de la saga orchestrée par Arleston achève en apothéose une superbe série de fantasy. Une aventure tumultueuse au rythme trépidant, des personnages entiers qui évoluent au fil des tomes et dont nous partageons les émotions, un univers riche et foisonnant, un soupçon d’humour et une grande maitrise de l’écriture.
Toujours surprenant, les neufs tomes de ce récit se sont enchainés sans jamais laisser retomber la tension et l’impatiente envie à chaque fin d’album de lire le suivant.

Philippe Pellet a su faire subtilement évoluer ses personnages alors qu’ils se forgent au fil de leurs aventures une véritable personnalité. Son dessin et sa mise en page très dynamique soutiennent le rythme soutenu du récit et nous emporte dans la magie de la lumière.

Par Olivier, le 3 janvier 2016

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