FRERES NOWAK (LES)
Oeil pour oeil, Dent pour dent
1955. Buenos Aires, en Argentine. Un français, qui se fait appeler Fabre, vient d’arriver par avion, il rencontre José, un chauffeur de taxi qui parle français et qui va le guider pendant son séjour. Il se rend dans un bar pour retrouver un certain Alvarez qui lui remet une photo et une arme. Fabre est à la recherche d’une personne liée à son passé.
Juillet 1939, en France. Monsieur Nowak, patron des Avions Nowak, assiste à un essai sur un de ses prototypes. Il discute avec l’un de ses ingénieurs, au sujet de ce vol et du pilote, Morel. Mais ce n’est pas ce dernier aux commandes de l’avion, mais l’un de ses jeunes fils, Gabin…
Par berthold, le 19 juin 2019
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782889320981
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Notre avis sur FRERES NOWAK (LES) #1 – Oeil pour oeil, Dent pour dent
Les Frères Nowak est la nouvelle série de la collection Cockpit de Paquet.
Queriot nous raconte l’histoire de la famille Nowak, et plus particulièrement de Gabin, l’un des jeunes frères.
Ainsi avec ce premier tome, le scénariste commence son récit en Argentine, avec ce français qui débarque à Buenos Aires, sur la piste d’un autre homme. L’auteur nous renvoie ensuite en 1939, quelques semaines avant le début de la Seconde Guerre mondiale, pour nous montrer comment la situation impacte la société Nowak et la famille. Au vu des évènements que nous lisons, nous comprenons que les Nowak ont vécu un drame, mais c’est surtout Gabin qui semble le plus touché.
L’intrigue est très réussie, puisqu’elle nous captive dès les premières planches. On a envie de lire la suite.
Le travail réalisé par Francis Queriot est excellent. Son récit réserve quelques belles surprises, mais aussi des moments forts et spectaculaires, avec quelques scènes aériennes notamment.
Pour mettre en images ce récit, le scénariste fait équipe avec Olivier Dauger, dont vous avez pu déjà admirer le talent avec Ciel en guerre, par exemple. Avec son style Ligne Claire, il réalise de très belles pages. Son sens du rythme permet de donner une belle dynamique au récit, les personnages sont expressifs. Les décors sont très bien rendus. La scène de promenade à Paris est très belle. Il est vrai que le choix des couleurs de Dauger donne beaucoup de lumière aux planches.
Les amateurs de scènes aériennes apprecieront aussi ces pages avec quelques passages étonnants.
Ce premier tome est une bonne surprise. Une lecture que je vous invite à découvrir.
Par BERTHOLD, le 19 juin 2019