FUGITIFS (LES)
Apprentis héros
Fuyant leurs parents, Alex et les autres se sont réfugiés dans un vieil hotel abandonné qui leur dorénavant de QG. Que vont ils faire maintenant ? Combattre leurs ainés ? ou tenter de rendre le monde meilleur à leur tour en jouant les super-héros ! Lors d’une tentative pour stopper un braquage dans un magasin ils rencontrent le jeune Topher. ce dernier s’avère être une sorte de vampire qu’il va falloir combattre.
Tout est tellement compliqué quand on découvre que ses parents ne sont qu’une bande de super-vilains manipulateurs. Mais alors quand ceux-là décident d’envoyer "la cape et l’épée" (un duo de jeune super-héros travaillant avec la police new Yorkaise) pour arréter les gamins tout s’enchaîne à nouveau, la police, les journalistes, tous le monde est persuadé qu’Alex et les autres ne sont qu’une bande de meurtriers fuyards…
Par fredgri, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2845384114
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Notre avis sur FUGITIFS (LES) #2 – Apprentis héros
L’action se lance vraiment pour de bon, l’intrigue se complexifie légèrement, les idées se bousculent et cela donne un second tome aussi passionnant que le premier. Le rapport avec les parents est très justement décrit, parfois on frôle aussi la caricature, notamment avec cette gamine qui compare l’autorité parentale avec une prison et son propre nom avec une marque d’esclavage ! Bref le vraie propos, en dehors du concept de base c’est le travail sur les ado et leur rapport à la réalité, on rejoint ainsi une certaine approche qui se cantonnait jusque là aux mangas uniquement. Mais loin de nous ressortir les mêmes poncifs pré-ado cette série se permet aussi de se positionner dans l’univers Marvel traditionnel tout en apportant un regard extérieur. Bon, l’intrigue n’avance pas vraiment à grand pas, on a l’impression qu’entre le premier numéro et le dernier il ne s’est passé qu’à peine quelques heures et que les personnages se sont contentés de réfléchir et parler autour de ce qu’ils ont appris, je caricature evidemment car il se passe quand même des choses mais le rythme est quand même assez lent et les gamins ont du mal à se lancer dans l’histoire telle qu’elle se présente à eux, ce qui ne retire aucunement de la qualité à l’ensemble !
De plus les dessins de Alphona se précisent de plus en plus, trouvant un vrai style, une vraie expression malgré quelques anatomies à revoir par-ci par-là.
une série qui se dévore sans attendre !
Par FredGri, le 22 août 2006
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