FVZA
2/3
Le FVZA (Federal Vampire and Zombie Agency) a refait surface depuis qu’un nouveau virus est apparu.
Les agents ont appréhendé un vassal, c’est à dire un humain qui bosse pour les vampires. Celui-ci transportait une fiole avec un liquide dedans. L’homme est infecté et il lui faut un antidote pour se soigner. Il donne le nom de son "patron" aux agents de la FVZA : un certain Mandrake.
Lorsque l’équipe d’intervention se rend à l’endroit où se trouve ce Mandrake, des cadavres attendent sur place. Un vrai massacre. Même le dénommé Mandrake en fait partie.
Un chef plus puissant a dû intervenir. On le nomme Nephilis…
Par berthold, le 27 septembre 2010
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Scénariste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782302012325
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Notre avis sur FVZA #2 – 2/3
Les vampires et les zombies ont la cote, ces temps-ci, au cinéma, dans les romans et même en bandes dessinées.
Vous ne pouvez pas ouvrir une revue, un journal sans voir sortir une nouveauté dans le genre dans vos salles ou chez vos libraires.
Comme souvent, nous avons droit à du bon et du moins bon.
Avec FVZA ( Federal Vampire and Zombie Agency), vous ne serez pas déçus : c’est écrit par un spécialiste du genre, David Hine, l’auteur de 30 jours de nuit et qui a aussi écrit quelques épisodes dans l’univers de Spawn.
Par contre, ne vous attendez pas non plus à la bande dessinée du siècle sur le genre non plus. Cela reste assez classique dans l’ensemble.
Ce tome 2 va s’intéresser au personnage de Laura Pecos, l’agent du FVZA, qui semble s’humaniser. Nous voyons aussi les réactions des humains face aux zombies : ceux qui s’amusent et se moquent d’eux lorsque les morts-vivants dansent ou ceux qui les prennent en pitié avec cette scène très dure où une mère zombie s’occupe de ses deux enfants et qui seront exécutés au lance-flamme pour que des ligues de droits de l’homme ne les défendent pas. Hine et Martinez frappent vraiment fort en trois cases avec ces images difficiles. Ce passage m’a marqué.
David Hine ne caricature pas non plus ses vampires. Ils ont quelques choses, une présence. Certains ont même du sentiment. Trahisons et coups de théâtre sont au rendez-vous. D’ailleurs, la dernière image vous donnera envie de lire la suite.
Roy Allan Martinez est un sacré artiste. Son style, ce graphisme mis en avant par des couleurs sombres concourent à vous donner la chair de poule, à vous mettre dans l’ambiance et à vous choquer comme cette scène dont je vous ai parlé précédemment.
FVZA s’avère être une bande dessinée du genre qui est toutefois à la hauteur de nos espérances, mais à ne pas mettre entre toutes les mains.
Par BERTHOLD, le 27 septembre 2010
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