GANARAH
Un palais, des arbres et des fruits rouges sang
Un mystérieux guerrier règne sans partage sur les arènes de la cité de Quintanaro. Ce combattant nommé "l’étranger" n’est autre que Ganarah, et son exil pourrait prendre fin si elle remporte un ultime combat. Mais alors que la fête se dessine, des spectres vraissemblablement indestructibles sèment la terreur dans la ville. Ces spectres se multiplient en posant un masque sur le visage de leurs victimes. Et Ganarah avec son expérience parvient à trouver leur point faible mais dans le combat elle est touchée par l’un d’eux et devient un de ces spectres Et sa route l’amênera à Armon Zurath, qu’elle aurait sans doute aimer redécouvrir en d’autres circonstances.
Par eric, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2749302781
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Notre avis sur GANARAH #2 – Un palais, des arbres et des fruits rouges sang
La séduisante est de retour pour notre plus grand plaisir. Elle poursuit son chemin vers la cité dont elle avait été exilée. Ce nouveau tome tient toutes ses promesses. Même si le scénario semble un peu compliqué et tend à s’emmêler avec toutes les pistes que met en place l’auteur. Mais cette histoire est très réussie avec un savant mélange de quête et d’action.
C’est avec plaisir que l’on redécouvre le graphisme précis et efficace de Fabrice Meddour. Le style n’est pas tout à fait réaliste il peut sembler même avoir une conotation humoristique, même si ce n’est pas le propos de cette série. C’est un style presque en rondeur avec des visages et des personnages très expressifs. Les couleurs participent à cette ambiance en distillant une atmosphère assez angoissante.
Au final, ce tome, qui n’a pas finit de répondre à toutes nos interrogations amène son lot de questions, pour mieux nous faire douter. A la fin du premier tome nous découvrions une Tchénée aux motivations mystérieuses, nous n’avons pas finis de nous poser des questions sur ce personnage d’autant que cette dernière semble connaître la vraie finalité de l’existence de Ganarah elle-même.
Par Eric, le 6 décembre 2006