GE - GOOD ENDING
Tome 1

Seiji Utsumi, lycéen réservé, se contentait d’observer de loin et d’aimer secrètement la belle Shô jusqu’au jour où Yuki Kurokawa, une camarade de classe de Seiji, décide de donner un coup de pouce au destin. Ce manga est une vraie « bible » pour tous les garçons qui veulent comprendre le coeur des filles !!

Par boukrou, le 2 octobre 2012

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Notre avis sur GE – GOOD ENDING #1 – Tome 1

Avec GE – Good Ending, Kei Sasuga et Kana nous propose ce nouveau shōnen sentimental qui sort quelque peu de l’ordinaire. Qui dit shōnen dit forcément quelques codes à respecter. Aussi retrouve-t-on un héros looser, Utsumi, loin d’être populaire, amoureux en secret d’une fille, Sho, qui n’a évidemment même pas conscience qu’il existe. Alors qu’il cherche à tout prix à rester discrèt, il rencontre Kurokawa qui malheureusement n’est pas du même avis. Elle va tout mettre en oeuvre pour aider Utsumi à dévoiler ses sentiments sans trop qu’on ne sache ni ne comprenne pourquoi.
Évidemment tout est tourné sur le ton de l’humour plutôt que du drame ce qui vient alléger considérablement le récit. De même, l’auteur arrive à éviter de loin les clichés et pose des bases pour le moins intéressantes sur les sentiments des protagonistes, leurs orgines et leurs évolutions.

Côté dessin, on obtient quelque chose de très classique pour un shōnen ce qui correspond parfaitement au genre. Tout est maîtrisé tant au niveau du chara-design que du décor ou même des trames. Le résultat est donc appliqué et la lecture n’en est que plus agréable. Ajoutez à cela une petite dose de fan-service, pas plus que nécessaire – contrairement à ce que peut annoncer Kana. Aussi ne se demande-t-on pas si l’avertissement "pour public averti" n’est-il pas un peu éxagéré.

Au final, ce premier tome de GE – Good Ending annonce un shōnen qui dépasse les clichés et qui sait se trouver un véritable place. On passe donc un bon moment de divertissement et on a envie de poursuivre la lecture; ça tombe bien puisque Kana sort le tome 2 dans la foulée !

Par boukrou, le 2 octobre 2012

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