GENSHIKEN
Club d'étude de la culture visuelle moderne

Maintenant qu’Ohno est présidente du Genshiken, la « politique » du club tend à s’axer, et cela presque exclusivement, autour des activités de cosplay. Malheur à celui qui volerait quelque chose lors des expositions de costumes  : si Kuchiki n’est pas bien intégré, il peut cependant se montrer bon vigile !

Ohno est affectivement obsédée par sa passion du cosplay. Une véritable otaku ! Ce qui a le don de mettre en rage Ogiué qui, elle, vient d’être admise au Comifest ! Elle tiendra donc un stand de vente de son manga, mais l’expérience aura été hyper stressante pour elle. D’une part parce qu’elle dessine du yaoi et qu’elle semble encore avoir du mal à assumer. D’autre part parce que Sasahara l’assistera, et qu’il est une muse de la mangaka en herbe ; elle qu’elle ne veut absolument pas qu’il découvre qu’il a inspiré un personnage !!!

Enfin, après avoir reçu des amies américaines de Ohno, les membres du Genshiken vont se payer une petite sortie dans une ville thermale. L’occasion de se retrouver ensemble dans un autre cadre de vie, et l’occasion aussi pour ceux comme Kôsaka qui viennent de trouver du boulot de se reposer un peu…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur GENSHIKEN #7 – Club d’étude de la culture visuelle moderne

Un volume de plus de la série Genshiken, c’est de nouveaux bons moments à passer avec nos héros otaku, passionnés par leurs hobbies au point que les (vraies) études ont l’air de ne plus exister !

On aime beaucoup ce volume qui s’attarde sur Oguié la mangaka amatrice. Ca fait encore une fois un peu BD documentaire sur l’univers des fans de BD au Japon, c’est intéressant. On aime aussi les trombines d’Oguié lorsqu’elle est poussée à se costumer alors qu’elle n’aime pas ça, ou encore l’entretien d’embauche de Sasahara !!!

Genshiken est une série à laquelle on s’est attaché de plus en plus au fil des tomes. Il faut dire que celui-là est particulièrement sympa. Vous vous ferez d’ailleurs peut-être la remarque comme quoi les décors sont vraiment soignés quand il y en a. Ceux en extérieur (voir l’extrait proposé) mais aussi ceux en intérieur comme c’est souvent le cas dans le local du club  : il y a moult détails en arrière-plan, notamment à cause des étagères et des tables qui regorgent de BD et de figurines ! On voit qu’il y a eu du boulot à dessiner tout ça alors qu’un fond uni aurait fait l’affaire d’un mangaka moins regardant…

Une série originale bientôt arrivée à terme puisque seuls deux volumes restent à paraître. A découvrir (si ce n’est pas déjà fait !) aux éditions Kurokawa.
 

Par Sylvestre, le 14 novembre 2008

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