GOBLIN'S
Cthulhu ça tangue
Alors que les différents royaumes pansent leurs plaies suite à l’apocalypse zombie, les rêves des Gobelins sont hantés par des visions terrifiantes.
Des songes étranges de cité engloutie, de monstres tentaculaires troublent leur sommeil et les plongent dans une déprime inquiétante.
Par olivier, le 16 janvier 2015
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782302043084
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Notre avis sur GOBLIN’S #8 – Cthulhu ça tangue
La raison de cette perturbation trouve sa source au royaume des hommes, où le Roi tente de réveiller le grand Cthulhu. Lors d’une grande cérémonie de sacrifice, il ouvre la porte vers la cité du Dieu sombre, mais l’intervention de Goblin des bois fait échouer son entreprise et seuls des créatures secondaires parviennent à franchir la porte.
Les royaumes Elfes et Nains sont alors envahis par des monstrueuses créatures venues du plus profond des âges anciens.
Des envoyés de tous les peuples se réunissent alors en grand Conseil autour du Roi (faux jeton de première catégorie) afin de savoir comment échapper à cette nouvelle apocalypse.
Au fin fond d’un grimoire, le Nécronomicon, la solution est écrite. Seule la grande race des Immortels pourra libérer la terre de leur indicible présence, une race très évoluée capable d’emprisonner les Anciens Dieux grâce à leur très puissante magie verte.
Vert, vous avez dit vert ? Les Goblins !!!!!
Et c’est parti pour un festival de loufoquerie, 48 pages de pur délire subtil, ou pas, magnifiquement écrit et orchestré par un Tristan Roulot dont l’imagination et la fantaisie continuent de nous surprendre.
Truffé de références, le Seigneur des anneaux où Games of Thrones pour les plus faciles, cette nouvelle aventure des Goblins est un véritable festival d’humour déjanté.
Une aventure superbement mise en scène par Corentin Martinage qui surprend par un dessin qui, tout en gardant une belle harmonie, multiplie les exercices de style.
Les Goblin’s, ce n’est pas remboursé par la sécu, mais ça devrait.
Par Olivier, le 16 janvier 2015