GREEN ARROW
La genèse (année 1)

Oliver Queen est un homme riche, un play-boy qui s’intéresse plus à lui-même qu’aux autres. Il a tout mais il sent qu’il lui manque quelque chose. Alors qu’il accompagne son ami Hackett qui travaille aussi pour lui, sur son yacht, celui-ci le trahit et abandonne Queen, inconscient, à un sombre destin en pleine mer. Mais Oliver Queen échoue sur une île. Sur place, il va se confectionne run arc de fortune pour pouvoir chasser et survivre. là, il se rend compte qu’il a un don pour cette arme. Mais cette île est le repaire de trafiquants qui utilise les autochtones comme esclaves. Oliver Queen va devoir lutter contre ses bandits et va prendre conscience peu à peu qu’il peut lutter contre l’injustice. Sur l’île, sa seule amie, Taiana, une esclave, va l’appeler Auu Lanu Lau’ava soit Green Arrow…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur GREEN ARROW # – La genèse (année 1)

Green Arrow est un personnage moins connu que ses confrères Batman, Superman, Wonder Woman ou Flash en France. Pourtant, il a connu une longue période. Il est apparu pendant la période de l’âge d’or et est passé par la suite sous la houlette de Neal Adams, Denny O’Neil (on le voit faire équipe avec Green Lantern) ou Mike Grell. Et il a connu une mort tragique en sauvant Métropolis lors d’une explosion.
Mais en 2001, le scénariste (et réalisateur) Kevin Smith (Clerlks, Dogma…) lui fait faire un come-back en le faisant revenir d’entre les morts d’une façon plutôt original (voir les deux tomes de Green Arrow paru chez Semic par Kevin Smith et Phil Hester) puis, de nouveau il a droit à une nouvelle série régulière mené par Brad Meltzer et Judd Wynick jusqu’au numéro 75 où la série s’arrête pour revenir sous un nouveau titre Green Arrow/Black Canary.. Mais juste avant cela, Andy Gamekeeper Diggle et Jock reviennent sur ses origines dans Green Arrow Year One que vous propose ce mois-ci Panini. Les auteurs reviennent sur la période où Oliver Queen devient Green Arrow.

Cette mini-série s’avère passionnante. C’est un bon récit d’aventures, où un homme seul, perdu dans un monde qu’il ne connait pas et différent de son train de vie habituel, va combattre un groupe de trafiquants bien armés et organisés. C’est la lutte d’un homme pour la liberté d’autres. Bien sur, avec son arc, Oliver Queen s’inspire de Robin des Bois. C’est vrai que le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer et ce Green Arrow Year One s’avère une bonne surprise. Andy Diggle sait nous tenir en haleine avec de nombreux rebondissements.
Le dessinateur anglais Jock se sort avec les honneurs de cette aventure dans la jungle. Le coloriste David Baron fait ressortir la puissance du vert de la jungle ou du costume du héros et utilise finalement très peu de tons.
Ce Green Arrow La genèse ravira les amateurs dont je fais partie. L’archer étant un de mes personnages préférés de l’univers DC.
Les amateurs de série TV peuvent aussi retrouver Oliver Queen dans la série Smallville qui s’intéresse à la jeunesse de Clark Kent (il apparait dans la saison 6).
Vous retrouverez à la fin de ce livre les magnifiques couvertures peintent par Jock.
Allez, je vous laisse suivre la flèche…verte, bien sur.

Par BERTHOLD, le 15 septembre 2008

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