GREEN ARROW REBIRTH
Vie et Mort d'Oliver Queen

Ce soir là, une femme disparait dans une bouche d’égout à Seattle. Elle a été enlevée devant son fils qui est emmené plus tard par quelqu’un qui se cache sous un long manteau, le visage masqué par une capuche. Mais Green Arrow intervient  pour le sauver et qui affronte l’inconnu. Après le combat, son adversaire se dévoile, il s’agit de Black Canary ! Elle tente aussi de comprendre ces disparitions. Ensemble, ils vont dans la "Jungle", l’endroit où campe les sans-abris. Ils découvrent qui sont ceux qui s’en prennent aux démunis…

Par berthold, le 30 septembre 2017

Notre avis sur GREEN ARROW REBIRTH #1 – Vie et Mort d’Oliver Queen

Green Arrow fait aussi son retour à l’occasion de Rebirth avec cette nouvelle série dont le premier tome reprend les Green Arrow 1 à 5 et le Green Arrow Rebirth 1.

Mais, cette fois-ci, l’archer ne revient pas seul dans les rues de Seattle. Il est accompagné de Black Canary !
Il est vrai que lors de la période The New 52, les auteurs avaient "oublié" de faire rencontrer cette version de Green Arrow et de Black Canary, ce qui n’etait pas logique d’ailleurs. Mais là, tout revient dans l’ordre et les deux justiciers peuvent se remettre ensemble pour affronter de nouvelles menaces.

Ce qui est le cas dans ce premier volume qui nous permet de voir à l’oeuvre les deux héros et comment ils se retrouvent dans le même lit… après avoir affronté d’étranges créatures. 
Le scénario de Benjamin Percy est plutôt pas mal. Sans révolutionner le personnage de Green Arrow, son récit nous embarque dans des aventures palpitantes où Oliver Queen est mis à mal par une nouvelle société et qui est trahi par un proche. L’archer ne s’attendait pas à cela et il doit se remettre de ses blessures en se faisant passer pour mort pour mieux tromper ses adversaires. Cela risque de poser problème auprès de sa nouvelle petite amie !

On n’a pas le temps de s’ennuyer en suivant toutes ces péripéties, avec une fin surprenante. Percy ajoute quelques pointes d’humour au récit, un humour qui tombe à point justement.

Quand à la partie graphique, elle est de qualité. Otto Schmidt et Juan Ferreyra font un travail épatant, avec un style différent l’un de l’autre, mais le changement ne dérange en rien. Ils nous offrent quelques bons passages avec des scènes d’action dignes de ce nom.

Cela redevient un plaisir de relire les aventures de Green Arrow. Ce premier tome est du pur divertissement de qualité.

 

Par BERTHOLD, le 30 septembre 2017

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