GREEN MANOR
Fantaisies Meurtrières
Le docteur Thorne qui soignait Thomas Below, l’ancien majordome du Green Manor reçoit les notes de ce dernier après sa mort. Elles se composent d’histoires de meurtres qu’ont pu commettre les membres.
Lord Wyatt, un riche homme d’affaires paralysé après un accident, fait parvenir une énigme au club. Celui qui résoudra le problème sera l’unique bénéficiaire de sa fortune. Cette énigme cache la vengeance complexe de lord Wyatt contre l’homme qui l’a paralysé.
Un homme qui passe relativement inaperçu raconte son histoire à un des domestiques du club. Il pense qu’il possède un don, celui de tuer sans que personne ne le remarque et en y réfléchissant il en est venu à la conclusion qu’il est l’ange de la mort et décide de mettre son don à l’épreuve.
Daniel Ballantyne, un médecin membre du Green Manor est attristé par la mort de William Blake, un poète considéré comme ‘mystique’. Il veut étudier son cerveau pour trouver la source de son inspiration. Trois autres membres du club vont lui faire une blague qui va avoir de terribles conséquences.
Deux chasseurs qui ont tout essayé se lancent un défi : un duel entre eux deux. Ils vont essayer de tuer l’autre afin de déterminer lequel est le plus grand chasseur de tous les temps.
Des membres du club parlent de la rumeur qui touche la famille de Lord Sanders. Matthiew Sanders, un des membres de cette famille va leur expliquer le comportement étrange de sa famille. Tout a commencé à l’ouverture du testament d’un père tyrannique qui a mis en place des clauses particulières à respecter si ses enfants veulent toucher l’héritage.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2800135980
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Notre avis sur GREEN MANOR #3 – Fantaisies Meurtrières
Comme dans les tomes précédents, on a un recueil de petites histoires qui parlent toutes de meurtres, assassinats ou vengeances. Des histoire sordides mais toujours teintés d’humour noir et grincant. On ne rit pas forcément mais on sourit souvent devant le résultat ou la conclusion des histoires.
J’aime beaucoup le fait d’avoir placé les histoires au début du siècle dans la société anglaise qui, sous un vernis de bonnes manières et de respectabilité, cache des personnages sournois et mesquins. Cela convient très bien aux histoires et le dessin de style humoristique renforce lui aussi le décalage avec les histoires.
Si vous êtes adeptes de l’humour anglais, tendance noir et grinçant, que le cynisme, la mauvaise foi et la mesquinerie des autres vous amusent, jetez un coup d’oeil au Green Manor, vous serez ravis.
Par Fef, le 23 mai 2005