Grendel, Behold the devil

(Grendel, Behold the devil 1 à 8)
Le Grendel hante les toits de la ville, la nuit. Sa silhouette se glisse sans faire de bruit puis soudain, un cri, un bruit de verre cassé, une gerbe de sang qui éclabousse un meuble et de la pointe de son arme il dessine un G ensanglanté sur le mur… Le détective Sparks, alliée à son amant journaliste Lucas Ottoman, tente de percer le secret qui entoure cet assassin mystérieux qui ne cesse de lui échapper tout en dirigeant la pègre d’une main de fer ! le combat semble inégal et pourtant Hunter Rose n’a jamais autant été maître de la situation…

Par fredgri, le 4 juin 2013

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Notre avis sur Grendel, Behold the devil

En 2007 Matt Wagner revient sur son personnage fétiche, le premier Grendel, Hunter Rose lui même ! On suit le récit comme étant un texte qu’aurait découvert Christina Spar, un texte que Rose aurait voulu détruire à tout prix. On peut donc s’attendre à quelque chose d’exceptionnel, mais en fin de compte on a surtout droit à un album assez convenu dans l’ensemble.
Certes ça reste du Hunter Rose, c’est très prenant, mais c’est surtout une histoire qui reste en grande partie assez mineure, tout de même. Bien sur il y a cette apparition démoniaque qui montre à Hunter son future et même davantage, mais l’ensemble se contente de répéter les schémas précédents ! Malgré tout, c’est intéressant de suivre les pensées de l’écrivain, sa façon d’agir et son raisonnement ! Wagner l’approfondit en lui donnant davantage de texture et en alimentant le mystère qui l’entoure.

En contre partie on retrouve l’artiste très inspiré avec des idées formelles vraiment intéressantes !

Une mini-série qui ne va pas forcément chambouler l’univers du Grendel, mais qui reste, pour les fans, une lecture très prenante, tout de même !

Pour les amateurs !

Par FredGri, le 4 juin 2013

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