GROOM LAKE
La psychanalise de l'oubli
Prévenu au dernier moment l’agent Birdy réussit à quitter l’ambassade des Etats Unis à Téhéran, juste avant qu’elle ne soit prise en otage par les Gardiens de la Révolution.
A peine de retour chez lui, le soir de noel, il se voit missionné pour récupérer des otages de l’ambassade. C’est ce soir là qu’il verra son fils pour la dernière fois.
Vingt cinq ans plus tard, de nos jours, le secrétaire d’Etat à la Défense des Etats Unis découvre que le plus grand secret de toute l’histoire de l’humanité est gardé dans la base de Groom Lake. La zone 51 n’abrite pas ce que tout le monde croit. Des expériences y sont réalisées sur des enfants, dont l’un serait Birdy.
Par aub, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2350780473
Notre avis sur GROOM LAKE #1 – La psychanalise de l’oubli
Tout de suite attiré par cette collection Grand Angle (que j’adore) de chez Bamboo, et par la couverture de la BD, j’ai été une fois de plus vraiment très agréablement surpris par la qualité de cette collection. Grand Angle, "La BD comme au cinéma" porte vraiment bien son nom et son slogan lui va comme un gant. Et pour cause, chaque histoire pourrait largement faire partit du monde du cinéma, ou en étant moins prétentieux du monde des téléfilm.
Pour cette nouvelle histoire de Richez (Sam Lawry, Le Messager entre autres) , dont le premier cycle est prévu en deux tomes, nous sommes à nouveau plongés dans une histoire formidable, avec des rebondissements incessant. La narration est rondement menée, avec des événements qui se déroulent en plusieurs lieux à la fois, donnant ainsi une vraie sensation de film. Le rythme est rapide et fluide, les actions et les évènements ne cessent de s’accélérer tout au long de l’album et peu nombreuses sont les pages ou l’on pourrait se "reposer".
Pour les illustrations, le trait de crayon plutôt épais, ne laisse pas ou peu de place aux détails, du coup comme souvent dans ce style de dessin, et c’est ici très bien pour l’histoire, nous ne nous attardons pas sur les cases, ce qui nous permet d’avoir un rythme de lecture tout aussi rapide que l’histoire le nécessite.
En tout cas, à mon avis, voilà encore une série de chez Bamboo à ne pas manquer… moi j’en redemande.
Par AUB, le 19 avril 2006
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