H.M.S.
Les naufragés de la Miranda
Septembre 1795 : « Une escadre anglaise traverse le Golfe de gascogne ». La Danaé, la Miranda et le Thames sont pris en pleine tempete. Pour la Miranda, les choses ne vont pas au plus mieux, le bateau sombrera et les survivants trouveront refuge à bord du Danaé.
A bord de la Danaé, pendant les manoeuvres ou l’on ramène les voiles, un nommé Wood tombe à la mer : accident ou crime ?
John Fenton, tout juste diplomé de l’école de médecine a été embarqué de force sur la Danaé.
En fait, à terre, il a été accusé à tort du meurtre d’un juge apres une partie de cartes, et par une suite d’étranges coincidences, il se retrouve à bord du navire avec les vrais assassins du juge. Il ménera son anquete aidé par Byam. Mais, à la suite de circonstances dramatiques, Fenton se retrouvera nommé médecin de bord, et le Commandant lui demandera de mener l’enquete à la suite de disparitions d’hommes et de l’assassinat du Chirurgien de bord. Fenton aura du travail sur la planche pour déjouer le complot qui se trame à bord du Danaé…
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2203393041
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Notre avis sur H.M.S. #1 – Les naufragés de la Miranda
Une très bonne surprise. Mon coup de coeur de ce début d’année 2005.
Les auteurs nous proposent un voyage à bord d’un navire de la marine anglaise de la fin du XVIIIème siècle. Mais en plus du récit maritime, de la vie à bord de ces vaisseaux, Seiter et Roussel nous proposent aussi une enquête policière digne des meilleurs thrillers ou roman policiers.
Le lecteur est pris dans des planches d’un grand réalisme : des scènes de tempêtes magnifiques, la mer déchaînée, on s’y croirait ! J’ai même mis mon ciré au cas où…!! La vie à bord du bateau est très bien rendue, aux détails près. Cette oeuvre est un très bon document de la marine de l’époque, de ces magnifiques 3 mats.
Depuis longtemps, je suis fasciné par ces récits maritimes que ce soit en romans, films… Avec H.M.S., je suis gâté. Il me tarde impatiemment de connaître la suite.
Et je ne peux que vous recommander d’embarquer à bord de la Danaé; vous ne regretterez pas le voyage.
Par BERTHOLD, le 10 janvier 2005
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