HARBINGER (VF)
L'ascension de l'Omega
(Harbinger 1 à 5)
Peter Stanchek est un jeune homme doté d’un étrange pouvoir sur les esprits, depuis sa naissance. Il a du mal à le contrôler sans avoir recours à des médicaments. Il vit de petits larcins, de squattes, avec son ami Joe. Un jour, une organisation, appelée "Harada Global Conglomerates" prend contact avec lui et lui explique qu’ils vont l’aider à mieux contrôler ses pouvoirs, qu’ils vont le protéger. Mais, une fois Peter arrivé dans les locaux d’Harada, Tout le monde se rend compte que la tâche ne va pas être si facile, car Peter s’oppose tout de suite à tous, il est en perpétuel conflit…
Par fredgri, le 30 août 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782809433760
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Notre avis sur HARBINGER (VF) #1 – L’ascension de l’Omega
L’univers Valiant arrive enfin en France. Dès le départ le succès est au rendez-vous et Panini nous propose donc d’en profiter en traduisant les séries Harbinger et X-O Manowar ce mois ci (le mois prochain devraient arriver "Bloodshot" et "Archer & Armstrong"). A mes yeux Harbinger demeurant tout de même le haut du panier !
L’univers Valiant renait donc de ses cendres, avec une redynamisation de ses titres qui démarrent sur les chapeaux de roue, allant même jusqu’à enchaîner deux évents l’un à la suite de l’autre (on verra un peu plus tard, en France Harbinger Wars et ensuite Unity…) !
Harbinger se présente ainsi comme une sorte d’alternative plus mature aux X-Men, l’école pour "jeunes surdoués" avec la faction ennemie qui œuvre dans l’ombre, chaque groupe ayant son leader sur-puissant ! Dysart mise ainsi sur le côté jeune héros rebelle, rejeté par tous qui a du mal à vivre son pouvoir et qui s’oppose à ses maîtres ! Évidemment on n’évite pas les stéréotypes, néanmoins l’intrigue est justement très bien dosée et passionnante. Plutôt que de développer un esprit de groupe le scénariste mise tout sur un seul individu qui va devenir le véritable "thermomètre" de cet univers, celui par qui le lecteur découvre les tenants et aboutissants, les bons côtés, comme les mauvais. Ce qui fait qu’en l’espace de 5 épisodes on a les bases de la série et les enjeux sont parfaitement posés !
Dysart installe la série progressivement, on découvre le recrutement des nouveaux élèves, le potentiel de Peter, l’école, les autres élèves avec les pièces maîtresses, les "enseignants" et leur techniques… Puis, petit à petit, la machine commence à se gripper, laissant entrevoir, par l’évolution des pouvoirs de Peter d’une part, puis par les chocs qu’il va subir, que tout est loin d’être aussi parfait qu’il semblerait !
Une série qui commence donc très très bien, avec beaucoup de potentiel et une intrigue captivante.
Aux dessins nous retrouvons Khari Evans avec un dessin réellement très bien adapté au récit, parfait pour les moments calmes, et parfait encore une fois pour tout ce qui touche aux ambiances plus tendues. C’est excellent !
Je ne saurais assez vous en conseiller la lecture… Vous risquez de faire de belles découvertes !
Par FredGri, le 30 août 2013
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