HARLEM
Le guépard intrépide
Mose, Lennox et Dolorès coulent une petite vie tranquille sans grandes richesses. Mose joue des poings sur un ring et partage son temps avec son boulot de docker. Dolorès est éperdument amoureuse pour Lennox qui est sans doute le plus grand "loser" d’Harlem. A Harlem, à l’automne 1975 on ne parle que de la reconstitution du combat d’Ali et Foreman à Kinshasa. Les frères Duck sont sur le coup et n’hésitent pas à truquer le match qui désignera celui qui interprètera le rôle d’Ali. Au même moment, Lennox essaye de se refaire et est mis sur un coup qui devrait rapporté gros et lui permettre à lui et ses amis de quitter Harlem.
Il doit simplement détourner le contenu d’un camion sur le port. Un camion qui est surveillé comme le lait sur le feu, donc qui peut être une vraie aubaine pour un cador comme lui.
Mais le "jour J" rien je va se dérouler comme prévu. Et tout le petit univers de Lennox vacille…
Par eric, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2749302803
Notre avis sur HARLEM #1 – Le guépard intrépide
A l’automne 75 j’étais vieux de quelques mois donc dire que cette époque m’a marquée est un peu présomptueux. Mais les séries de cette époque oui. Ainsi Harlem a les rythmes des séries comme Shaft, Kojak ou Starsky et Hutch.
Ainsi, Brrémaud confirme avec cette nouvelle série qu’il sait manier l’humour pour dérider ses histoires. Dans le cas d’Harlem, ce sont les situations qui sont comiques. Car bien malgré lui, Lennox en véritable chat noir provoque les catastrophes. Rien ne se déroule comme prévu pour lui et ses amis. Mais si au prime abord l’histoire nous fait sourire avec des personnages comme le vieux docker Judicaël et l’alcoolique Madame Jackson le fond est lui composé d’un scénario bien construit et solide. Car les trames mises en place sont très prometteuses. Que ce soit le vol de ce camion que les flics ripoux veulent récupérer ou se combat de boxe, tout est mis en place pour rendre l’aventure amusante. Quant au dessin et aux couleurs, on retrouve un peu l’ambiance d’une série animée comme funky cops. Et ils se marient très bien avec cette histoire. Le trait est humoristique et les ambiances sont finement travaillées.
Cette série nous invite à un petit voyage dans le temps sur la planète Harlem. Sur un air de musique funky les auteurs nous entraînent dans une course poursuite entre voyous, mafiosi et flic ripoux. C’est drôle et passionnant.
Par Eric, le 3 septembre 2006
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