HAWKWOOD
Mercenaire de la guerre de cent ans
Parce qu’un différend les oppose pour une histoire de droits de succession, un jeune seigneur et son oncle ont lancé leurs armées respectives les unes contre les autres. Pendant une accalmie entre deux batailles, la "Compagnie Blanche du Corbeau" va se présenter au jeune châtelain : c’est un groupe de chevaliers mercenaires dirigés par le dénommé John Hawkwood. C’est une aubaine pour le seigneur assiégé et un contrat est vite signé qu’Hawkwood et ses hommes honoreront avec panache.
Un peu plus tard durant cette même année 1346, toujours en Normandie, c’est à Carentan qu’un vicomte fera appel aux services d’Hawkwood et de ses mercenaires. L’affaire sera autrement plus délicate : 12000 guerriers anglais du Prince Edouard sont prêts à fondre sur le château vicomtal, défendu lui par 3000 hommes ! Réflexion et diplomatie plutôt que combats violents, voilà la stratégie qui sera proposée par Hawkwood…
Par sylvestre, le 11 avril 2016
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Éditeur :
-
Collection s :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782818935545
Publicité
Notre avis sur HAWKWOOD #1 – Mercenaire de la guerre de cent ans
Il est jeune, beau, fort et intelligent. Il est à la tête d’un groupe de guerriers abonnés à la réussite. John Hawkwood est donc le mercenaire qu’il vous faut si vous avez un château à défendre et une pénurie de valeureux soldats ! Dans ce premier tome de la série Hawkwood, une série dynamique et pas mal dessinée complète en 8 volumes, c’est à deux de ses victoires que l’on assiste. Bien pensées, bien menées, efficaces. Le contexte, c’est la guerre de cent ans. On est en Normandie, en 1346. Les Anglais sont la menace, mais des "querelles de clochers" existent aussi qui peuvent tout aussi bien servir d’entraînement avant les grandes batailles. Des armures, des flèches, des remparts, des intrigues et des trahisons. Bref, tout ce qui fait le médiéval qu’aiment les amateurs du genre. Avec au milieu de tout cela John Hawkwood et ses mercenaires, de terribles combattants qu’on peut avoir dans son camp un jour, et en face le lendemain ! Action !
Par Sylvestre, le 11 avril 2016
Publicité
