HELLBLAZER
Good intentions
John Constantine sort de prison, à la suite de l’accusation du meurtre de son ami "Lucky" Fermin. Constantine qui veut être en paix avec son âme va entreprendre un voyage jusqu’à Doglick, un bled de Virginie Occidental. Pour un pur londonien comme lui, les grands espaces américains ne lui conviennent pas trop.
A Doglick, lorsqu’il aura retrouvé ses amis, la famille Fermin, ainsi que Rose, son ancien amour, Constantine se rendra compte que même des "petites gens", des gens normaux sont capables du pire ! La vérité sera dure pour notre détective de l’étrange.
Episodes US #151 à 156.
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
291399914X
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Notre avis sur HELLBLAZER #2 – Good intentions
Voila une des rares traductions d’Hellblazer en France, un des titres-phares de « DC COMICS-VERTIGO ». Les éditions Toths avaient déjà publié un premier tome : « hard time » par Corben et Azzarello.
John constantine est une sorte de détective, magicien, qui oeuvre entre le bien et le mal. Il est cynique, boit du whisky ou de la bière, fume beaucoup, jure et ne cotoie pas que des enfants de choeur.
Ce personnage a été crée par Alan Moore. Au début, c’était plutot un second role. On l’a ausi vu dans un épisode de « The Sandman » la série de Neil Gaiman (voir le 1er tome chez delcourt). Depuis, il a sa propre série (plus de 200 numeros chez DC6Vertigo). Constantine , physiquement ressemblait à Sting. ce 16 fevrier 2005, sort l’adaptation cinématographique « CONSTANTINE » avec Keanu Reeves dans le role-titre. De blond et anglais, il devient brun et américain…
Azzarello signe une tres bonne histoire. Il commence par un voyage en auto-stop ou l’on peut se rendre compte du cynisme de constantine. Le voyage peut etre cauchemardesque ou mortel pour ceux qui le prennent en stop. Doucement, le scénariste nous amène vers le dénouement tout en distillant des moments chocs, ou gores, ou juste suggérés. Le final surprendra plus d’un lecteur. Car la vérité qui se cache dans le village de Doglick n’est pas celle que l’on croit. Le lecteur, lui, est fasciné par cette ambiance, ce suspense.
Le dessin de Frusin rend bien l’ambiance qui s’en dégage. Son Constantine est réussi.
Toth nous offre aussi un visuel des fabuleuses couvertures du comics par Tim Bradstreet.
Ce titre est une bonne occasion de faire connaissance avec la série « Hellblazer ».
Attention : pour public averti !
Par BERTHOLD, le 16 février 2005
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