HELLBOY
Into the Silent Sea
Hellboy quitte l’île à bord d’une vieille barque. Le brouillard se lève, on n’y voit goutte et c’est au dernier moment qu’il se rend compte qu’un navire lui fonce dessus. C’est le choc. Hellboy sombre, inconscient.
Lorsqu’il se réveille, il est attaché et enchainé à l’un des mats. Le capitaine du Rebecca hurle à ses hommes ce qu’il compte faire de cette créature. Les marins se demandent ce qu’est vraiment ce monstre rouge. Un des marins se rebelle et menace le capitaine qui l’abat d’une balle en pleine tête. Le capitaine envisage de vendre hellboy à une foire en espérant se faire un bon pactole. Le soir venu, le mousse s’occupe d’Hellboy et lui parle de la femme qui est à bord. Une femme étrange qui lui raconte une étrange histoire…
Par berthold, le 20 juin 2017
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9781506701431
Notre avis sur HELLBOY # – Into the Silent Sea
Hellboy : Into the Silent Sea fait suite à Hellboy : The Island.
Mike Mignola nous fait retrouver son héros qui croise la route du Rebecca. A bord du bateau, l’ex-agent du B.P.R.D. comprend qu’il n’est plus en 2001, il semble avoir remonté le temps, pour être fin XiXème siècle…
En attendant, il vit une étrange aventure. Une femme lui raconte l’histoire d’une malédiction, puis un mort revient à la vie, tuant ses anciens camarades. Hellboy doit l’affronter et ce ne sera pas le dernier monstre qu’il va devoir combattre…
Ce récit est dans la grande tradition des récits fantastiques façon Lovecraft, ou des créatures, des monstres venus d’on ne sait où, où des morts reviennent à la vie et où le héros ne sait plus à quelle époque il est. Rêve t’il ? Ou vit il vraiment ce cauchemar ?
Mike Mignola nous invite à suivre une étrange et étonnante aventure d’Hellboy.
Côté graphisme, nous retrouvons le grand Gary Gianni. Ce dernier est un croisement entre Bernie Wrightson et Goya. Un artiste vraiment doué. Les planches sont magnifiques. Il nous plonge dans cette atmosphère fantastique, dans ce cauchemar. Ce récit, grâce au dessin, nous fait vraiment flipper.
Dave Stewart, le coloriste, adapte son jeu des couleurs au trait incroyable de Gianni. On se retrouve face à des scènes incroyables, à vous hérisser le poil.
Une des meilleures aventures de l’ex-agent du B.P.R.D.
Un récit que je vous invite fortement à lire !
Par BERTHOLD, le 20 juin 2017