HK
Balaenun nun
Déporté sur un vaisseau de l’axe, Karl suit un intense entraînement militaire ; l’Axe a besoin de nouvelles recrues pour mener à bien ses projets.
Karl est le pire élément de son unité. Il se fout de tout, son amour pour Lola le rend complètement apathique.
Mais bientôt, Karl se voit imposer un nouveau compagnon de chambrée, Buuhalis, un cyborg, qui va bientôt changer sa vision sur sa détention.
Par PATATRAK, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2723425703
2 avis sur HK #3 – Balaenun nun
Un tome haut en couleurs ! Beaucoup d’action, de suspense, un déluge de feu, de combat et de chair déchiquetée. Une histoire assez violente, mais rondement menée, sans vraiment de temps morts.
L’arrivée d’une once de psychologie grâce à l’entrée en scène de Buuhalis permet au lecteur de se ‘reposer’ un peu au milieu de toute cette violence.
Car malgré son squelette d’acier et de carbone, ce cyborg a compris bien des choses sur les humains… et l’est parfois plus qu’eux !
L’histoire marque un grand changement dans l’attitude de Karl, autrefois jeune petit voyou romantique. Je ne vous en dis pas plus sur ce qui va lui arriver, mais je trouve qu’il s’agit du meilleur tome de ce cycle !
Ce cycle d’ailleurs se termine, et continue dans le cycle 2, avec Massilia.
Les dessins sont encore très bons. J’aime particulièrement la façon qu’a Trantkat de courber ses personnages pour leur donner cette impression de vitesse dans les déplacements, cette présence athlétique qui rend si vivante l’action.
Chapeau, Monsieur !
Par PATATRAK, le 18 janvier 2003
Un tome qui dépote, aucun doute à ce sujet.
Si on lisait tranquillement les deux tomes précédents, celui-ci se révèle plus riche, avec une épaisseur qui manquait aux deux antérieurs. Dommage qu’il ait fallu attendre le troisième opus, et de plus, la fin d’un cycle, pour vraiment entrer dans une BD qui exploite vraiment le dynamisme du dessinateur.
Ce qui est plaisant dans ce tome, c’est que la rythmique est très bonne, et ne sonne pas artificielle. Comprendre par là que des éléments dans les deux autres tomes sonnaient un peu "repompés" et trop classiques, ce qui n’est pas le cas présentement pour celui-ci.
Bref du plaisir, avec un regret néanmoins : que ce plaisir arrive un peu tardivement, et surtout en clôture de cycle…
Par Siam l'Archiviste, le 16 avril 2003
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