IMMORTAL IRON FIST (THE)
The book of the Iron Fist
(Immortal Iron Fist 7, 15 et 16 + Orson Randall & The Green Mist of Death + The origin of Danny Rand)
Bien décidé à tourner la page, Danny, qui s’est aussi rendu compte que sa fortune vient d’un don d’Orson Randall et donc indirectement des cités du ciel, va se lancer dans le social en reprenant les buts de sa société et en aidant les plus démunis, il va aussi reformer, dans la foulée le célèbre duo qu’il formait avec Luke Cage jadis. Il se rend après tout compte que les précédents Iron Fist sont tous morts à 33 ans et que justement…
En même temps nous en apprenons davantage sur quelques anciens Iron fist, comme la pirate Wu Ao-Shi ou encore Bei Bang-Wen, mais c’est encore une fois avec Orson Randall, poursuivi par le mystérieux Prince des orphelins que nous en apprendrons plus.
Par fredgri, le 27 août 2009
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9780785125365
Notre avis sur IMMORTAL IRON FIST (THE) #3 – The book of the Iron Fist
Ce troisième tome marque d’une part le départ de Ed Brubaker, d’autre part les derniers travaux de Matt Fraction sur le personnage mais surtout c’est une transition entre la première partie qui posait les bases et ce qui va suivre avec un nouveau scénariste. Cet cachet transitoire retire un peu de tension à cet album car rien n’est vraiment lancé, certes il y a cette histoire autour des 33 ans de Danny, mais on sent que ça ne sera exploité qu’ensuite, Fraction pose une base, aux autres de continuer. Malgré tout c’est un volume qui se lit très bien, peut-être moins intense en effet mais en somme assez instructif, on sent quand même que Brubaker structurait tout l’ensemble et que son départ laisse la série sans marques précises. Fraction s’amuse, certes il ramène ses thématiques habituelles, ces savants fous, ces machines étranges, anachroniques, mais l’ensemble prend plus l’allure d’une grande pause avant de redémarrer pour de bon.
Graphiquement c’est le même sentiment que pour le deuxième tome, c’est très bon mais très disparate, on change de dessinateurs trop souvent et du coup la cohérence graphique en pâtit sérieusement, dommage.
Un très bon opus, mais peut-être moins rythmé que les deux autres.
Par FredGri, le 27 août 2009
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