INCAL L'INTEGRALE (L')
La Cinquième essence tome 1 &2
L’Impéroratriz est possédée par la Ténèbre.
Une méduse envoyée par l’Incal réussit à le maîtriser.
La Ligue des Planètes Coloniales doit rester unie pour lutter contre la Ténèbre et éviter le retour à la tyrannie.
Le Raî-Mo et ses hommes doivent convaincre la Ligue de s’allier et de créer une puissance de feu pour écraser et anéantir l’Etoile de Guerre’, l’endroit où se cache le Techno-centre.
Quand à l’Incal, accompagné de Difool, Deepo, Kill, Animah et Tanatah, il trouve un moyen d’entrer à l’intérieur de l’étoile de Guerre.
Par berthold, le 17 mai 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782731682854
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Notre avis sur INCAL L’INTEGRALE (L’) #3 – La Cinquième essence tome 1 &2
L’incal ou les aventures de John Difool est une des séries cultes des années 1980. L’oeuvre a connu diverses éditions depuis.
En cette année 2013, un an après la disparition de Jean Giraud alias Moebius, Les Humanoides Associes nous en proposent une nouvelle édition publiée sous le titre Intégrale. Elle est est regroupée en trois cycles qui reprennent les six volumes de la saga de John Difool.
Je trouve que la couverture est quand même originale. Les couleurs sont celles du début. Par contre, ce qui est dommage, c’est qu’il n’y ait pas de supplément ou divers documents inédits pour accompagner cette nouvelle édition.
Ce troisième volume qui reprend le cycle La cinquième essence tome 1 & 2, ne nous laisse pas le temps de souffler. Il s’y passe tellement de choses que le lecteur est plus fatigué que ce pauvre Difool. On retrouve un John Difool, toujours manipulé par l’Incal, qui se met encore dans le pétrin. Dans cette aventure, on sent un peu l’influence de Star Wars avec cette ‘Etoile de Guerre’ et la bataille spatiale.
Le trait de Moebius évolue beaucoup. Son dessin se distingue de celui des premiers tome de l’Incal. A l’époque, ces planches sont plus approfondies, je préfère cette période d’ailleurs. Mais cela reste toujours de qualité. Certaines planches sont quand même superbes.
Le récit est toujours dans l’esprit Jodorowsky. Il y a du bon et du moins bon chez cet auteur. L’Incal fait partie de ses meilleurs écrits.
Un cycle qui conclut en beauté l’une des légendaires sagas de la bande dessinée. Une conclusion en forme de recommencement d’ailleurs.
Si vous n’aviez pas encore opté pour la saga de John Difool, de Groot, du Méta-Baron et de l’Incal, voici une occasion à ne pas manquer à un prix intéressant d’ailleurs.
Cette saga a connu aussi diverses séries dérivés qui prouvent que la série de l’Incal ouvre de nombreuses perspectives.
Par BERTHOLD, le 17 mai 2013
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