INDIANA JONES
Et le secret de la pyramide

Chez Ibrahim, antiquaire cairote gagnant sa vie en mettant à jour des sépultures puis en "vendant le tuyau" à des archéologues, Indiana Jones se laisse tenter par des informations sur une momie à découvrir après laquelle le professeur Mortimer est parti sans jamais plus donner de nouvelles. Mais alors qu’Ibrahim commençait à donner des précisions, il fut assassiné au nez et à la barbe de son interlocuteur !

Sorti de l’échoppe avec un minimum de renseignements découverts sur place, Jones va partir dans le désert accompagné de son amie Marya Smirnova. Mais très vite, ils vont se rendre compte que Von Stark est derrière eux, animé par l’envie de s’approprier toute découverte d’importance, quitte à jouer de la gâchette…

Ce n’est pas sur le premier site où ils se rendront que Jones et Smirnova découvriront ce qu’ils cherchent. Non, ce sera plus loin, dans le désert, et en plus d’un trésor, ils feront une rencontre inattendue !
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

Notre avis sur INDIANA JONES #1 – Et le secret de la pyramide

Combien de fois l’ai-je vue sur des étalages de brocantes sans jamais avoir daigné la feuilleter ou l’acheter ? Cette BD était bien le titre que je pensais ne jamais lire !

Edité en 1994 par Bagheera pour la société Shell, Indiana Jones et le secret de la pyramide est un des titres qui ont fait partie d’une collection de BD disponibles à la station service pour un plein fait ou que sais-je encore. Ce titre a ensuite fait l’objet, deux ans plus tard, d’une réédition avec nouvelle couverture afin que la série intègre, avec les 2 tomes qui ont suivi, le catalogue Bagheera.

Mais voilà : il ne faut jamais dire jamais. La retrouvant sur mon chemin récemment, mon œil a été attiré par le nom du dessinateur : Giancarlo Alessandrini… qui n’est autre que celui qui a remplacé Giulio De Vita pour la réalisation du tome 5 de la série Quintett (Dupuis) ! C’est donc par curiosité que j’ai lu cette BD qui a donc été suivie par d’autres titres des mêmes auteurs, dont un ayant aussi fait partie de cette collection créée pour Shell.

C’est une histoire sympa mais vraiment sans plus. Le genre de lecture parfait pour qu’en voiture le voyage paraisse un peu moins long… Car le dessin, justement, est de qualité minimale, tout comme la couleur. Mais voilà, finalement, je suis content de l’avoir enfin lue et de savoir qu’après avoir pu dessiner comme ça, Alessandrini a bien fait évoluer son coup de crayon, et dans le bon sens !

Plus jamais vous ne regarderez cette BD comme vous le faisiez avant… 😉
 

Par Sylvestre, le 15 janvier 2008

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