INTERFACE
Marchands de rêves
Le premier jour de travail du policier Alek Vacendak est extrêmement chargé. Apres avoir perdu son co-équipier lors d’une fusillade entre les Butchers et les Angels, il se retrouve directement promu au rang de lieutenant par le commandant Cort qui lui aussi a perdu son équipier dans cette fusillade. Ils vont enquêter sur un lot de Pilrev défectueux qui serait a l’origine du conflit sanglant. Les Pilrevs sont les pilules qui permettent à l’homme de rêver depuis qu’ils en sont incapable suite à une dégénérescence biologique. Leur enquête va les amener vers une petite société qui cherchent un autre moyen de faire rêver mais les motivations de Cort ne sont pas aussi clair qu’il y paraît.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2205053787
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Notre avis sur INTERFACE #1 – Marchands de rêves
Si vous avez aimé blade runner, les livres de Philip K. Dick et William Gibson, jetez-vous sur interface. On est dans un univers totalement cyberpunk. On est mis dans l’ambiance dès le début de l’album ou on apprend que les hommes ont besoin de pilules pour rêver sinon ils deviennent fous. Cela a engendré les 5 meta-compagnies qui gèrent tout.
Comme c’est un premier tome, on voit surtout les groupes et l’intrigue se mettrent en place. Et c’est très bien fait, car à la fin de l’album tout semble très bien positionné, avec beaucoup de possibilités de développement. chaque personnages cachent des choses, à part "peut-être" Vacendak, mais cela n’est pas sur.
Il y a plusieurs enquêtes imbriquées : Qui est à l’origine du lot de Pilrevs défectueux et pourquoi ? Que cache le passé de shanaya ? Quels sont ses liens avec Zane Dargent ? A qui est réellement associé Carter Cort ? Plein de questions qui demandent des réponses dans le tome 2.
Le dessin est très particulier. Les personnages ont un style manga qui m’a beaucoup surprit, car je n’en lit que très peu. Cela m’a même un peu rebuté quand j’ai feuilleté l’album avant de l’acheter. Mais, en s’accrochant un peu, on rentre dans l’histoire et on oublie un peu ces à priori !
Par Fef, le 13 avril 2004
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