IR$
Narcocratie

Larry B. Max, l’agent de l’IRS (Internal Revenue Service) le fisc américain, est sur les traces de Ryan Ricks, et espère ainsi démasquer le commanditaire qui a recours aux services de ce spécailiste du blanchiment d’argent. L’enquête le mènera jusqu’au Méxique.

Par aub, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

3 avis sur IR$ #4 – Narcocratie

J’aime beaucoup se genre de BD, avec des complots, des magouilles, des super grand méchant, et un héros ressemblant à James Bond… mais je dois bien avouer que pour IRS un petit goût de déception est resté à la fermeture de cette album. En effet il ne m’a pas fallut plus de 20 minutes pour le lire, et j’ai trouvé que l’histoire n’est vraiment pas énormément développé, et que les dessins sont parfois très léger dans les décors. Bref, les inconditionnel des séries comme Vlad, Alpha, XIII et Largo Winch appréciront certainement. (N’est ce pas Franck?)

Par AUB, le 12 août 2002

Cette série n’est ni plus ni moins qu’une bonne série B
Le scenario de Desberg est , certes, trés fouillés, mais la trame en elle-meme est tres classique. On ne s’ennuie pas une seconde, c’est vrai. Mais on n’arrive pas encore au niveau d’un XIII OU DE LARGO WINCH !
Le point interessant de cette série , c’est peut-etre la relation entre Larry B. MAX et Gloria …
Nette amélioration par contre pour les dessins.
A suivre, donc…

Par BERTHOLD, le 19 septembre 2002

Au contraire des avis précédents je n’ai pas trouvé de similitudes avec les séries Largo Winch et autres séries B si ce n’est le genre. Sorti de cela, plus rien à voir. Le héros n’est pas un Don Juan à large carrure et aux biceps saillants.. Il est beau, certes, mais il est froid et son comportement vis à vis des femmes n’est pas celui d’un macho. Il est puissant mais il ne se place ni en situation de supériorité ni d’infériorité. Il est tout simplement égal à eux et à elles sans que nous n’y pensions.
La notion est subtile mais elle est là et je pense pouvoir dire que Stephen Desberg l’a clairement voulue.
Le sujet traité n’est pas simple et il fait couler beaucoup d’encre et réaliser de nombreux reportages. Un homme sans frontières comme l’est Desberg ne pouvait pas passer à côté de ce fléau qu’est la drogue et comme le leit motiv de la série est l’implication de l’argent dans ces vices ouverts de la planète, il en profite ça donne une fiction très orientée et captivante. L’histoire va vite et le dessin la soutient complètement. De plus, cette fois, les couleurs sont superbes et Coquelicot qui fait ses couleurs à la main, montre tout son talent.
J’ai passé un très bon moment de lecture et je commence à penser que cette toute jeune série annonce de très bons augures pour l’avenir… cool !

Par MARIE, le 15 avril 2004

Publicité