JE VEUX LE PRINCE CHARMANT
Je veux toujours le prince charmant

Bon, j’avoue : quand j’ai vu le tome 1, je me suis écrié « beeeuuurk, mais c’est moche », mais on ne m’a pas laissé le choix, on m’a forcée à le lire (tortionnaire !!!). Certes, le trait est simple (un peu dans le genre retour de CP « maman regarde c’est moi qui l’ai fait ») mais tellement expressif qu’on se croirait en face d’Hélène Bruller en chair et en os, et c’est ça le grand secret !

Du coup, je confirme, « on » est un tortionnaire : il a juré la perte de mes zygomatiques, qui ne se sont pas reposés d’un bout à l’autre. Les descriptions, d’une ou deux planches, ont des chutes (ou toute la page d’ailleurs) vraiment terribles (avec des "phrases qui tuent") et sont criantes de vérité : on reconnaît quelqu’un : une copine, un voisin … Voire, on a pensé un jour la même chose. (Ne dites pas non, on a tous un petit côté peste. Et les garçons aussi, d’abord !!! Non mais …) .

Hélène dit tout haut ce qu’on pense souvent tout bas (en se disant d’ailleurs « rhoooo, c’est pas bien"), et c’est ça qui est bon. Bref, si vous êtes sujet(te) au coup de blues hivernal, voici un remède bien efficace pour y remédier !!!

Par Beuleu, le 7 janvier 2006