JOLIN LA TEIGNE
l'ours en ferraille
A sa naissance, le prince Jolin est frappé par un éclair. A partir de ce moment, il devient victime d’une malédiction. Il transforme en monstre la personne qui s’oppose à lui. Pour l’étudier et éviter d’être transformé, trois scientifiques inventent un automate dans lequel ils transfèrent leur esprit. Lors de l’anniversaire de ses trois ans, Jolin transforme sa mère, la reine Outine en monstre. Le roi devient fou et essayer de tuer Jolin après le suicide de la reine. Le roi est lui aussi transforme en monstre mais Jolin est sauvé par les trois scientifiques qui s’enfuient avec lui du château.
10 ans plus tard, le roi retrouve la piste de Jolin et pendant l’attaque du château, les scientifiques le sauve encore une fois mais perdent Jolin dans la campagne. Celui ci, libre pour la première fois de sa vie, peux enfin s’amuser à faire peur a tout le monde avec son pouvoir/malédiction.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2749300088
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Notre avis sur JOLIN LA TEIGNE #1 – l’ours en ferraille
Comment fait Jean David Morvan pour gérer autant de série sans se répéter ?
Celle ci est un mélange de médiéval fantastique et de science fiction. Evidement je n’ai pas pu m’empêcher de penser a Sillage, et surtout au tome 4 qui se passe dans le même style de monde. Mais il n’y a pas trop de rapport. Ce serait même le contraire. Dans sillage, les vaisseaux et technologies sont cachés, mais dans Jolin ce n’est pas le cas.
Le ton est assez différent aussi. Sillage est une série d’aventure assez classique alors que Jolin devrait être une série d’aventure avec une plus grande place a l’humour. J’aime beaucoup le gag récurrent ou tout les groupes qui recherchent Jolin demandent leur chemin au paysan qui fuit le village.
Le ton léger vient aussi du dessin. Le dessin des monstres ne fait pas peur, ils sont plus ridicules qu’effrayant. Le dessin de Ruben est très efficace et vivant. Les personnages sont très expressifs et le cadrage, dans les scènes d’actions, donne vraiment une impression de mouvement.
Comme souvent, ce premier tome présente les personnages et le monde. A la fin du premier tome, comme il y a trois ou quatre clans différents, il est difficile de dire comment va évoluer l’histoire.
Par Fef, le 15 avril 2005
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