JONAH HEX
Guns of vengeance
Le mariage de Peter et Margaret Decker. La fête se déroule comme prévu malgré la presence de cet invité surprise, le dénommé Jonah Hex. Il est là car le marié a des comptes à rendres à la justice.
Mais un groupe de cavaliers vient perturbé la fête. Il s’agit d’un ex-petit ami de Margaret. Lui et ses hommes tirent sur la foule. Peter Decker est abattu et la mariée manque de subir le même sort si elle n’avait aps été secouru par Hex.
Le chasseur de primes promet à la veuve de poursuivre ces assassins…
Par berthold, le 29 juillet 2009
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Sortie :
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ISBN :
9781401212490
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Notre avis sur JONAH HEX #2 – Guns of vengeance
Heh ! Jonah Hex est de retour dans ce second volume qui reprend les numéros #7 à 12 de la série régulière.
Et croyez moi ça va saigner !
Jimmy Palmiotti et Justin gray n’hésite pas à nous donner quelques sensations fortes avec certains passages violents. Il faut bien dire que dans ce tome, nous avons droit à une bonne dose d’hémoglobine. Les gunfights sont assez nombreux et parfois spectaculaires. Les auterus mettent en scène aussi des "barbares" comme ce groupe de chasseurs de primes dans Bloodstained snow. ou cette famille de "péquenauds" qui vit dans le bayou en Louisiane et qui nourrit les alligators avec de la chair fraiche. Ils mettent aussi leur héros dans des situations difficiles comme dans The hangin’tree où le r découvre Hex pendu à un arbre. cet épisode permet aussi d’y retrouver El Diablo.
Ces récits sont souvent "politiquement incorrect". La façon dont Jonah hex traite ses affaires n’en font pas un héros du genre Lucky Luke.
Mais en tout cas, les récits sont toujours passionnants.
Du coté du dessin, nous y retrouvons l’un des créateurs de Jonah Hex : Tony DeZuniga, ainsi que Paul Gulacy, phil Noto ou encore David Michael Beck. Une belle brochette d’auteurs talentueux qui inscrivent à leur façons la légende d el’Ouest. J’ai bien apprécié le stule de Gulacy, de DeZuniga et de Beck.
Vraiment, Jonah Hex c’est quand même du grand western et c’est à ne pas manquer !
Par BERTHOLD, le 29 juillet 2009
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