JONAH HEX
No way back

Jonah Hex est un chasseur de primes. Il est d’ailleurs le plus redouté dans sa catégorie. Après avoir mené une affaire avec son propre style, Hex prend du bon temps dans l’un des saloons de la ville en compagnie de quelques prostituées, lorsqu’il est dérangé par deux policiers. Ces derniers lui donnent un avis de recherche. Il concerne une femme. Hex se rend compte qu’il s’agit de sa mère qui l’avait abandonné lorsqu’il était enfant. L’ancien soldat confédéré accepte de s’en charger…

 

Par berthold, le 2 décembre 2010

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Notre avis sur JONAH HEX # – No way back

Jonah Hex est un personnage culte de l’univers DC. Bien qu’il s’agisse d’un western, vous avez pu l’apercevoir ici ou là dans certains évènements majeurs de l’univers DC ou bien lorsque certains héros remontent dans le temps par exemple.
Néanmoins, depuis quelques années, Justin Gray et Jimmy Palmiotti ont repris le destin de cet ancien soldat de l’armée confédérée. Petit à petit, ils essaient de donner une chronologie à la vie de Jonah Hex. Avec No Way Back, qui est un récit complet, ils nous font découvrir quelques secrets sur le passé de Hex et quelques révélations sur sa famille. Il y a cette femme, sa mère, qui est recherchée morte ou vive, puis la découverte d’un frère qu’il ne connait pas.
Gray et Palmiotti vont nous entraîner dans cette "quête" familiale dont la piste sera violente. Les deux auteurs, dans la dernière partie du livre, vont nous dévoiler pourquoi El Papagayo voue une haine à Jonah Hex.
Tout cela sous fond de western comme on en voit peu, et qui par moments, fait penser à certaines œuvres du genre signées Clint Eastwood.

C’est le dessinateur Tony DeZuniga qui s’occupe de mettre en image avec un certain brio ce récit violent et passionnant.
Certes, son style peut vous dérouter au premier abord mais vous verrez que vous saurez apprécier à la fin.

Ce Jonah Hex vous propose un habillage assez original puisqu’il vous donne l’impression de tenir en main un "vieux" livre abîmé.

Si vous voulez en savoir plus sur cet (anti)héros, lisez donc No way back : du westen pur et dur !

 

Par BERTHOLD, le 2 décembre 2010

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