JSA
Ghost stories
Un an après les évènements survenus lors d ela période connu sous le nom d’Infinite Crisis. Les membres de la JSA se voit confronté aux fantômes d’êtres chers. Ils vont vite découvrir que tout cela est du au retour du Gentleman Ghost, qui est encore plus dangereux qu’avant. Le Ghost a de plus levé une armée.
La JSA va devoir trouver une solution pour empêcher le Gentleman Ghost d’atteindre son but. Et ce sera peut être sur le sol anglais que se trouvera cette solution…
Par berthold, le 1 janvier 2001
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ISBN :
9781401211967
Notre avis sur JSA #12 – Ghost stories
Depuis un petit moment, je redécouvre l’équipe de la JSA (Justice Society of America) et c’est avec plaisir que je lis ses aventures.
Ce Ghost Stories reprend les épisodes 82 à 87 de la série régulière. Le récit débute un an après ce qui s’est passé dans Infinity Crisis.
Elle est écrite par Pau Levitz, un "ancien" de cette série. L’histoire est assez réussi et bien prenante. Le suspense st bien tenu durant tout le récit. Levitz s’applique aussi à nous conter l’histoire du Ghost dans des flash-backs savamment dosé. Il nous montre aussi ses héros en proie au doute, qui sont bien plus humains que nous pouvons le penser. Même l’invincible Power Girl montre sa sensibilité (voir la scène où elle repense au Superman venu d’une autre Terre et mort à la fin d’Infinity Crisis.
Au dessin, nous y retrouvons des noms de légende, des noms mythiques comme celui de Georges Perez qui n’a rien perdu de sa superbe comme vous pourrez le voir dans le premier récit qi met en scène le Batman et le Superman d’une autre Terre face au Gentleman Ghost , celui de Jerry Ordway ainsi que celui de Rags Morales dont nous avons pu apprécier le style dans Crise d’identité. Il faut aussi souligner le superbe travail de Luke Ross qui a en charge la partie concernant le passé du Gentleman Ghost et qui nous fait revivre la période du XVIIème siècle.
Ce JSA est une bonne surprise. Le scénario tient la route, est assez intéressant et est servi par une excellent équipe graphique. De quoi ravir les amateurs.
Par BERTHOLD, le 4 avril 2009