JSA
Black Reign

Black Adam a monté sa propre équipe composé de Brainwave, Eclipso, Nemesis, Northwind et Atom Smasher pour lutter contre le tyran Asim Muhunnad qui règne sur le Kahndaq, le pays qui revient de droit à Teth Adam. Bien sur, ce groupe a choisi la manière forte pour abattre la dictature. C’est un vrai massacre.
Hawkman rejoint le QG de la J.S.A. pour leur montrer ce qui se passe dans ce pays. Ils décident d’intervenir pour demander des comptes à Black Adam. Malheureusement, cela ne va pas se passer comme prévu…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur JSA #8 – Black Reign

Depuis un bon moment, je trouve que Geoff Johns est un excellent auteur de comics et il a su redonner ses lettres de noblesses à certaines séries de chez DC que ce soit sur Green lantern, Flash, Teen Titans et surtout à la JSA.

Ce Black Reign reprend les épisodes de la JSA #56 à 58 et ce de Hawkman#23 à 25. Johns nous a mijoté un récit plein de bruit et de fureur où l’émotion va quand même trouver sa place. Le début est assez violent. nous y voyons avec quelle sauvagerie Black Adam et son équipe s’attaque au dictateur, ne lui laissant aucune chance et encore moins à ses troupes.  C’est ce genre d’opération que désapprouve la JSA.  Mais ce qui les ennuie, c’est de voir Atom Smasher dans les rangs de Black Adam.  L’intervention de la JSA va aussi être très musclé. Johns va nous surprendre encore une fois lorsque nous découvrirons qui est l’agent infilrtré  dans le groupe de Black Adam. Là, je ne le voyais pas venir. Johns va aussi nous montrer la barbarie de Hawkman.  J’ai bien aimé aussi le début où nous retrouvons les mebres de la JSA prendre du bon temps à St Roch, cela attenue aussi la violence de la première partie.

Nous retrouvosn Rags Morales au dessin et je vais encore dire tout le bien que je pense de cet auteur. il a su encore une fois faire du bon travail sur ces planches.  le second dessinateur est un artiste bien connu des lecteurs de Batman : Don Kramer. lui aussi a rendu une copie parfaite. Il faut aussi souligner les très belles couvertures de John Watson dont vous pouvez admirer ce travail à la fin de ce volume.

Encore une fois, je n’ai pas été déçu par cette aventure de la JSA. Au contraire, j’en redemande.

Par BERTHOLD, le 9 avril 2009

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