K
L'instant d'éternité
Alors qu’ils pensaient avoir trouvé refuge sur la planète Eyrolia, les enfants sont faits prisonniers par le Gardien Maître. Ce dernier est bien décidé à protéger le secret de Terradoes, même par la force. Les enfants sont choqués mais la jeune Miklav va les surprendre en parvenant à briser les gangues qui les retenaient prisonniers jusqu’à présent. Miklav va faire appel à toute l’étendue de son pouvoir pour vaincre le Gardien Maître, quite à faire apparaitre le Gardien Noir…
En surface, rien ne va pluspour Rod et le reste de l’équipage du K, ils doivent se défendre contre de redoutables lézards géants. Quant à Kimi, Kenjo et le chevalier sorcier, ils voient le kookaburra apparaître et enlever la jeune Kimi. Ils se retrouvent prisonniers dans la bibliothèque du savoir du chevalier.
Le K prend soudain vie et devient un redoutable robot de combat qui vient à la rescousse de son équipage, en bien facheuse posture. Mais ils n’ont pas trop le temps de triompher ou de se reposer car les Aquilains sont sur leurs talons, et le K les entraine dans son sillage vers l’antre du Gardien Maitre.
Par eric, le 24 mai 2010
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782302005907
Notre avis sur K #3 – L’instant d’éternité
Ce troisième tome constitue l’épilogue de cette série dérivée de l’univers de Kookaburra qui semble être une sorte de passerelle entre le épisodes 5 et 6 de Kookaburra. Et soon but va semble-t-il bien au-delà pou nous dévoiler (enfin peut-on dire) le mystère de la disparition de l’univers. Certes cela peut sembler capilotracté et à la fin ca fait vraiment mal aux cheveux. Dans le tome précédent, l’histoire partait un peu dans tous les sens du fait que l’équiapge du K avait été séparé en trois équipe distinctes. Ici c’est encore le cas, mais c’est pour mieux savourer les retrouvailles. Et cette séparation était bien venue dans la mesure où elle a permis à chacun des personnages de trouver les reponses.
Ce dernier opus confirme de nouveau le talent de la paire Olea-Ramos, leur style chatoyant colle bien avec les derniers épisodes de la série. Et souvent on trouvera que sur les question métaphysiques le style plus cartoon et tout en rondeur de Ramos ne fasse aussi sérieux que le sujet abordé. C’est un peu destabilisant, mais il aime bien ce genre de challenge comme le montre la série Révélations qui surfe sur la voix ésotérique. Kookaburra-K surfe sur cette même vague mais avec une certaine poésie.
En refermant les pages de K, il reste une impression de manque. Le K s’apparentait à une sortede héros, il aura fallu attendre le tome trois pour qu’il se conduise en tant que tel mais la fin semble ouverte et il laisse l’impression que l’on a râté un épisode. Mais nous allons avoir l’occasion de réviser notre mythologie Kookaburra avec la prochaine sortie du tome 7.
Par Eric, le 24 mai 2010
Publicité