KOBLENZ
le desespoir d une ombre
Le docteur Koblenz, accompagné de son assistante Clara, arrive dans une vallée minière d’allemagne dirigée par la famille Wegener. Friedrich Wegener a fait appel à Koblenz car des évènement étranges se passent dans ses usines. Une force mystérieuse détruit tout sur son passage. Aucunes conclusions ou hypothèses rationnelles ne peuvent expliquer ce qui se passe dans cette vallée. Apres s’être assuré que Friedrich comprenait bien le prix qu’il aura à payer, Koblenz commence son enquête et va vite se trouver confronté au secret de la famille Wegener.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2840552841
Notre avis sur KOBLENZ #1 – le desespoir d une ombre
Le premier mot qui vient à l’esprit après la lecture c’est étrange. Car à la différence des autres premiers tomes, Thierry Robin présente très peu les personnages principaux Koblenz et Clara. Et même à la fin de l’album, on en ignore encore beaucoup sur eux. Le seul élément sur, c’est que l’on est vraiment dans l’étrange.
Rien que le prix que demande Koblenz pour résoudre l’enquête. Il veut 10 ans de la vie de son client afin d’alimenter son cœur mécanique, il utilise régulièrement la magie pour avancer dans son enquête. Cela semble normal et le seul moyen pour contrer l’esprit qui détruit tout dans la vallée.
La fin aussi, laisse une sensation bizarre, ce n’est pas, comme on le voit très souvent, une happy end ou les « gentils » en sortent heureux et gagnant.
Etrange est aussi le terme que l’on peut utiliser pour le dessin. Il est pratiquement tout en angles, il y a très peu de courbes, même pour les personnages. La majorité des planches sont faite de trois strips alors que d’autres ne respectent absolument pas ce découpage comme le passage de pages 35 à 38.
Il n’y a pas d’indication de date mais tout fait penser que ça se passe à la fin du 19 siècle/début 20 ieme. Il y a une ambiance lourde et malsaine venant autant du dessin et des couleurs grise, marron pour les extérieurs et rouge dans les usines que du secret des Wegener.
Le tout donne un album très particulier qui fait passer un bon moment de lecture.
Par Fef, le 8 mars 2004
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