KOOKABURRA UNIVERSE
Lames soeurs

Les chevaliers sorciers sont les accoucheurs d’étoiles. Ils veillent sur l’univers en mettant en avant les principes de mémoire et d’équilibre. Mais un jour l’un d’entre eux brisa cet équilibre et annonce une nouvelle ère qui plongera dans le chaos les civilisations. Celui-ci s’accouplera à une guerrière Dakoïde qui donnera naissance à un hybride qui sera censé redorer la puissance des Tsumbai Sand : les chevaliers sorciers. Mais les autres peuples de la galaxie ne l’entendent pas de cette oreille et marchent en ordre de bataille sur Dakoi.
De son côté, Kubilaï Khâa tâche de rattraper les erreurs de son alter ego pour sauver l’univers, mais y parviendra-t’il ?

Par eric, le 1 décembre 2010

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Notre avis sur KOOKABURRA UNIVERSE #14 – Lames soeurs

Ce quatorzième tome de Kookaburra Universe se positionne juste avant le premier tome de la série mère et donc apporte son lot de révélations. On découvre l’origine et le rôle des chevaliers sorciers ou plutôt  du chevalier sorcier que l’on connait bien et la fameuse perle d’or. Cependant, ce tome est assez difficile à appréhender, tout au long de sa lecture, on a l’impression de se faire des noeuds au cerveau. Et si les tomes de ce spin-off sont indépendants les uns des autres, on a souvent l’impression qu’il nous réinvente la ligne droite…Bref il est très déroutant et demandera une, voire plusieurs relectures. Et parfois, on a l’impression de devoir réviser son Kookaburra pour les nuls, histoire de voir si les éléments disposés ça et là pour renforcer le récits sont en cohérence avec l’univers Kookaburra. 
Malgré cette supposée lourdeur narrative, il ne faut pas oublier le travail au dessin de Sylvain Guinebaud et celui de Sebastien Lamirand aux couleurs,  qui livrent ici un travail de très bonne facture. Le dessin est lui clair et soigné et s’inscrit comme un des meilleurs tomes de la série.
Ainsi, on a l’un des tomes les plus importants de la série, mais sa complexité est vraiment perturbante et va sans doute perdre pas mal d’apprentis snipers dans une étoile ou un trou noir, moi le premier.

Par Eric, le 1 décembre 2010

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