KOOKABURRA UNIVERSE
Les larmes de Gosharadl
Un tribunal militaire retransmet à la télé le procès du sniper Dragan Preko. Accusé d’avoir tué d’autres militaires, il doit rappeler les faits qui se sont passés dans le conflit contre les amazones sur Ganesha. Apres le bombardement de la planète. Les snipers arrivent pour prêter main forte aux troupes régulières. Une mission spéciale leur est affectée. Ils doivent trouver l’orbe sacrée, une relique pour les habitants de la planète. Celle-ci se trouve dans la ‘chambre interdite’ qui est protégée par une technologie inconnue.
Les jours précédents leur mission sont très stressants pour les snipers car on retrouve certains morts de peur. Ce qui ne meurent pas disent avoir été attaqués par une ‘ombre’.
Par fef, le 1 janvier 2001
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ISBN :
284946063X
Notre avis sur KOOKABURRA UNIVERSE #5 – Les larmes de Gosharadl
Cette série dérivée prend de plus en plus d’intérêt et de place dans cet univers. Chaque album est très différent des autres et c’est pour moi la ou réside l’intérêt principal. A travers le passé des personnages de la serie principale, on découvre un peu plus le monde.
Dans celui ci, on retrouve Dragan Preko le sniper. Comme dans le premier tome qui lui était consacré, l’histoire se concentre sur son passé et est totalement indépendante de celle de la série principale. Dans cet album, on voit comment se passe les relations dans l’alliance (l’armée des humains) et comment ils résolvent les conflits internes et externes. L’histoire est très bien construite, les éléments se mettent en place au fur et à mesure jusqu’au dénouement final. Il permet de réhabiliter Dragan et de justifier ses actes. Quand on connaît comment celui-ci agit normalement, cela surprend énormément que celui-ci se retrouve inculpé des meurtres d’autres militaires. Mais surtout cet album est un prétexte pour livrer certaines réflexions sur les conflits militaires actuels et comment ils sont gérés et présentés aux civils.
Comme à chaque fois, le dessin est différent de la série principale, mais on reconnaît très facilement les personnages. Chaque dessinateur garde son style et cela donne des traitements très différents. Le style de Ludolullabi est plus anguleux que celui de Crisse et se rapproche de certains manga de science fictions. On remarque ainsi les petits changements relatifs à tout ce qui est technologique. La technologie semble beaucoup plus "fonctionnelle et industrielle" et beaucoup plus présente que dans d’autres albums.
Il reste encore plein de personnages de la série principale qui n’ont pas encore eu de traitement dans cette série dérivée. Je pense notamment aux cinq enfants et au sorcier. Dragan possède lui aussi encore pas mal de secrets (on n’a plus d’information sur son œil). Cela permet de rêver à de nombreux autres albums dans cette série. J’espère qu’ils resteront de la même qualité que les précédents.
Par Fef, le 29 août 2005
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