Kosmos
La conquête de l’espace…
Le premier pas sur la Lune le 21 juillet 1969 par les Américains…
La vérité sur les échecs des Russes… La vérité qui se dévoile à présent, et l’explication de la découverte d’Armstrong, lorsqu’il fait ses premiers pas qui ne le sont en fait peut-être pas… !
Par aub, le 3 novembre 2021
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782413040415
Notre avis sur Kosmos
Quelle chance pour cette fin d’année 2021 avec l’arrivée de KOSMOS, un album qui ne nous laissera pas sur notre fin.
Ecouter le silence de l’espace… C’est comme ça en tout cas que j’ai débuté cette lecture, dans un calme absolu, seul le bruissement d’une page qui se tourne de temps en temps pour rompre le silence. Une lumière dans le dos pour bien voir les superbes planches et pour donner l’impression de la luminosité de la Lune et ses ombres. Voilà, vous y êtes… c’est comme au cinéma. Les pages défilent sous vos yeux ébahis, vous êtes happés par le film qui défile devant vous. Vous vous délectez de cette incroyable volume aux illustrations graphiques et au rythme digne d’un film de science fiction haut de gamme !!!
L’album totalement en noir est blanc est absolument superbe. Les planches sont d’une profondeur graphique intense avec des jeux de lumières très réussis. Les expressions des visages des personnages en dit long sur leur ressenti, bien plus qu’un long texte. C’est remarquable.
On est aussi totalement happé par la qualité du scénario. Dès les premières pages on plonge dans une uchronie exceptionnelle, nous nous approchons même d’une sorte de fake news ou du moins ce qui aurait pu en être une. De pages en pages, nous suivons les protagonistes et l’histoire défile, les rendant de plus en plus attachant, sans pour autant que nous soyons pris de pitié pour eux, mais en ayant le sentiment que leurs choix, leurs situations, qu’ils tentent de maitriser, leur échappent petit à petit. Le suspence est grand et la fin proche.
L’album se lit presque trop vite, malgré ses quelques 210 pages.
Une fois lu, on le dépose délicatement, et on savoure encore dans les yeux le noir intense qui le compose et qui nous fait tellement penser à l’espace.
Un must à ne pas manquer.
Par AUB, le 3 novembre 2021
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