KURE-NAI
Tome 6
Shinkurô a combattu Seki Akama alias "Red Cap" et est sorti victorieux de leur duel. A Seki, les Hôzuki ont proposé qu’il réintègre la place qu’il avait jadis parmi eux. Ce qu’il a refusé.
Peu après, à la première fête de temple où Murasaki s’est rendue, elle a échappé à la surveillance de ceux qui l’accompagnaient. Heureusement, elle a été retrouvée saine et sauve. Shinkurô avait justement ce jour-là sur lui un téléphone portable à lui donner… S’il l’avait fait un peu plus tôt, il ne se serait sans doute pas autant angoissé de l’avoir perdue de vue !
Zena Hoshigami a été moins maligne que Benika Jûsawa lors d’une confrontation qui les a opposées. Elle est partie noyer sa vexation dans l’alcool dans un quartier où Shinkurô a justement été envoyé en qualité de médiateur. Ils se sont rencontrés, ont discuté, puis se sont fait agresser par des voyous. Mais Shinkurô a réglé leur compte à leurs agresseurs, ce qui l’a rapproché de Zena et les a poussés à se présenter l’un l’autre. Chacun a ainsi découvert l’identité de l’autre, sachant pertinemment ce qui les séparait mais faisant une trêve après cette épreuve qu’ils avaient subie ensemble.
Shinkurô intéresse l’organisation Akuu pour son potentiel. Il va être approché par Lucy May qui va pratiquement le persuader de "rouler pour eux". Une mission test lui sera proposée mais il la refusera parce qu’il s’agissait d’un meurtre. Comme Kirihiko Kirishima qui se trouvait là allait vouloir s’occuper de cette mission à sa place, Shinkurô allait vouloir l’en empêcher, ce qui allait quelque part faire de lui un acteur de cette expédition punitive d’Akuu…
Par sylvestre, le 16 décembre 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782820302373
Notre avis sur KURE-NAI #6 – Tome 6
Dynamique et clair, ce tome 6 de la série Kure-nai est, tout comme les précédents, agréable à lire. De plus, les personnages ayant en majorité une apparence adolescente alors que les rôles de certains, dans le contexte de conflit clanique qui est celui de la série, siéraient plus à des adultes, un parfait éventail de personnages à qui les lectrices et les lecteurs peuvent éventuellement s’identifier est donc offert !
Kure-nai, en plus de cela, garde parmi ses meilleurs atouts un graphisme (celui de Yamato Yamamoto) que ceux dont l’œil glisserait trop vite dessus pourraient trouver classique mais que les autres sauront apprécier à sa juste valeur, remarquant en même temps qu’ils feraient leur lecture ces vignettes où la gestion du noir et du blanc est impeccable et donne un équilibre exceptionnel aux dessins, notamment dans les zones où les textures et autres surfaces noires avec reflets sont représentées. C’est une observation qu’on a pu faire depuis le tome 1 et qui perdure depuis… Une raison supplémentaire pour que les amateurs de manga qui ne connaissent pas ce titre et, plus généralement, pour que les amateurs de dessin stylé jettent un coup d’œil à cette BD !
Par Sylvestre, le 16 décembre 2011
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