KYOKO
Kyoko Karasuma, inspecteur à Asakusa

Les gens "savent", désormais. Trop ont assisté à des carnages dus aux Oni. C’est sur fond de cette panique que Kyoko et son acolyte Ray vont apprendre que des changements sont prévus au sein des équipes de sécurité publique. Miki Sugiura se voit en effet confier la responsabilité de lever des équipes d’intervention et choisit ses éléments parmi les meilleurs policiers du Japon.

Cette nouvelle organisation de la défense et les nouvelles méthodes prônées par Miki coïncident avec des pourparlers en haut lieu politique visant à créer un nouveau pouvoir, parallèle à l’actuel qui ne s’est pas jusque là montré à la hauteur.
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur KYOKO #3 – Kyoko Karasuma, inspecteur à Asakusa

L’échiquier continue de voir affluer de nouveaux pions… Mitamura prend de l’importance aux yeux des lecteurs et fait même naître le doute quant à qui il est exactement et ce notamment par rapport à Kyoko. Et puis il y a l’arrivée de Kunio Shibata, aussi, qui est tiré de sa condition d’homme de la rue pour reprendre un rôle dans la "société", lui qui par le passé a œuvré aux côtés de Mitamura.

En plus des côtés fantastique et d’action de la série Kyoko, ce volume 3 affûte son volet politique-fiction et laisse entrevoir de sacrées luttes d’intérêts, d’influence, de pouvoir… Comme si les créatures sanguinaires n’étaient déjà pas un problème assez grand pour la population japonaise qui n’a rien demandé mais qui se retrouve au beau milieu d’une spirale infernale dont on ne sait pas encore trop qui elle va emporter sur son passage !

Faites vous aussi équipe avec Kyoko et Ray ! Partez pour un Japon futuriste tourmenté, et tenez-vous prêts… Sous la plume de Ohji Hiroi et sous les crayons de Yusuke Kozaki, l’action et l’aventure ont commencé sur les chapeaux de roues et semblent ne plus pouvoir s’arrêter !

Kyoko Karasuma, Inspecteur à Asakusa est une série entraînante, à découvrir (pour ceux qui ne la connaissent pas déjà !) aux éditions Taifu.
 

Par Sylvestre, le 4 décembre 2008

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