L'année du Loup-Garou

Une nuit de pleine lune, en janvier. C’est là que tout a commencé… Avec la mort horrible d’Arnie Westrum, garde-ligne aux Chemins de fer du Maine…
La petite bourgade de Tarkers Mills va alors connaitre une série de crimes abominables. On parle d’une bête, d’un serial-killer, mais ne serait-ce pas autre chose ? Quelque chose qui se trouve au sein de la petite communauté ?

Par berthold, le 20 mars 2017

Notre avis sur L’année du Loup-Garou

L’année du Loup-Garou est paru une première fois, en 1983, chez Albin Michel, en grand format.
Fin 2016, Le Livre de Poche propose une nouvelle édition dans un format qui permet d’admirer les superbes illustrations de Berni Wrightson.

Il est vrai que le dessinateur réalise de superbes pages pour illustrer le récit de Stephen King, mais aussi de petits desssins aux crayons de couleurs rouges qui permettent de conclure chaque chapitre. Il fait aussi de magnifiques dessins en noirs et rouge pour annoncer chaque mois. Quand aux pages couleurs, elles permettent de pouvoir admirer en grand et d’être impressionné par la Bête !
Wrightson est un grand artiste. Stephen King a bien fait de faire équipe avec lui pour cette histoire.

L’année du Loup-garou n’est certes pas le meilleur récit de Stephen King.  C’est plutôt un petit exercice de style qui lui permet de collaborer avec Wrightson et de s’amuser à nous raconter en douze mois les apparitions de ce loup-garou. King se permet aussi quelques libertés avec les moments de pleine lune. Il les situe à certaines fêtes spéciales comme Halloween ou le jour du réveillon ou encore le 04 juillet.
Peut être en développant un peu plus les personnages, en nous les présentant plus profondement, il aurait pu nous offrir un autre chef d’oeuvre, mais il s’est contenté de nous écrire un court divertissement d’une centaine de pages qui nous fait passer un bon moment de lecture.

Une oeuvre à découvrir pour voir le King jouer avec le mythe du loup-garou et aussi pour admirer les superbes illustrations de Berni Whrightson.

 

Par BERTHOLD, le 20 mars 2017

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