LA PEUR DU LOUVRE
De mystérieux vols en série ont lieu au musée du Louvre, à Paris. Vous êtes élève, et, ce jour-là, avec votre classe, vous allez en visite justement dans ce musée. Les choses sérieuses commencent lorsqu’un homme que vous croisez laisse échapper la clé d’une armoire de consigne. Vous délaissez alors votre groupe pour le suivre…
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
2211027512
Notre avis sur LA PEUR DU LOUVRE
Ce tout petit livre au format horizontal est une bande dessinée dont vous êtes le héros. Vous connaissez le principe : le lecteur dirige sa lecture au fil des décisions à prendre, sautant de page en page pour voir évoluer sous ses yeux l’histoire qu’il se crée. Dans ce cas précis, la bande dessinée s’adresse aux enfants.
Composée de 71 planches, elle propose différents scenarii assez courts, ce qui permet aux lecteurs de ne pas trop errer, de ne pas trop tourner en rond, et, finalement, d’arriver relativement facilement à la planche où se dessine une fin couronnée de succès pour l’enquête à mener.
Cette BD, écrite par Claude Delafosse, est dessinée par Yvan Pommaux, auteur de nombreux ouvrages pour enfants (livres illustrés ou bandes dessinées) parmi lesquels on trouve la série "Marion Duval". Là, le personnage qui nous représente est un enfant européen aux cheveux courts, un peu hirsutes, très noirs, dont le visage peut autant être celui d’un garçon que celui d’une fille. C’est un peu la différence avec d’autres lectures dont on est le héros où l’on ne se voit jamais.
Le jeu est poussé par la préparation, dans les premières pages, qui consiste à faire choisir au lecteur 3 objets parmi d’autres. Le choix de ces objets influera bien évidemment sur le cours des choses ! En outre, parfois, les orientations du scénario se font avec une pièce que l’on tire à pile ou face, ou encore en fonction de la réussite ou non du déchiffrage d’un rébus ! Bref, vous le voyez, c’est très ludique, ça se lit (et se relit) très vite. Et soyons honnête : lorsqu’on perd, on y revient pour tenter à nouveau sa chance !
Quelle aventure ! Moi, j’ai réussi-euh, na-na-nè-reuh !!! 😉
Aurez-vous autant de chance que moi ? Tadam !!!
Par Sylvestre, le 16 janvier 2006