la sirène des pompiers
Paris. XIXeme siècle. Gélinet est un peintre au style somme toute académique mais sans imagination. A chaque vernissage d’exposition il se fait sans exception démonter par le critique d’art Fulmel. Mais un jour, ô miracle, Gélinet peint une sirène de façon tout à fait remarquable. Que lui est-il arrivé? D’où sort-il cette inspiration naissante? En fait de nulle part. Il a recueilli chez lui cette sirène échouée dans les égoux de Paris qui lui sert maintenant de modèle. Ils tombent amoureux l’un de l’autre mais le succès que Gélinet ne connaissait pas avant lui monte à la tête et le gentil garçon devient un odieux personnage…
Par Julien Derouet, le 1 janvier 2001
Notre avis sur la sirène des pompiers
Commençons par le graphisme. Pas grand chose à dire. C’est de la nouvelle BD, on aime ou on n’aime pas…
Le scénario maintenant. Bravo, je dis Bravo. Aborder le thème de l’art et de sa perception par ses contemporains est quelques chose de très original dans le milieu de la BD. Et le sujet est plutôt très bien traité. Au XIXe siècles les Impressionistes étaient en effet méprisés par leurs contemporains qui ne voyainet dans leur toile qu’une décadence. Comment leur en vouloir? Qui aurait cru qu’au XXe et XXIe siècles nous concidérerions les Monet, Manet et autre Renoir comme des maitres de la peinture du XIXe. Une bande dessinée très intéréssante donc sur la vision de l’art mais aussi celle des artistes et de leur côté mégalo.
Merci Hubert.
Par Julien Derouet, le 15 février 2007
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