LADY SPITFIRE
La fille de l'air
Eté 1940, la France est sur le point d’être vaincue, Laure Chevalier et son père fuient la pays aux commandes de leurs avions. Fille d’un as de la première guerre mondiale elle voue un passion sans limites à l’aviation. La guerre va lui donner l’opportunité d’assouvir celle-ci. Sa rencontre avec un chef d’escadron va changer sa vie. Celui-ci est bien décidé à faire d’elle un pilote, et pour cela il n’hésite pas à la faire passer pour un jeune pilote récemment décédé au combat. Ainsi, pour la Royal Air Force, Laure Chevalier est devenue Charlie Johnson.
Par eric, le 14 juin 2012
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
Collection s :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782756027333
Publicité
Notre avis sur LADY SPITFIRE #1 – La fille de l’air
Une nouvelle série dans la collection Histoire et Histoires chez Delcourt, ou l’art de mêler la grande histoire avec une petite histoire. Après l’Afrique du Nord, nous découvrons le récit, n’ayant pas peur des mots, palpitant de la jolie Laure Chevalier dans la Royal Air Force en Angleterre. On va dire, que la recette risque de tourner tant le mimétismet entre les personnages des deux séries est frappant. Même si ici il s’agit d’une femme qui devient par magie pilote, contrairement au héros des Faucons du désert. Sans doute un aléa du cahier des charges de cette nouvelle collection.
Mais voila, le récit est prennant et l’on s’amuse à découvrir le fabuleux destin qui attend Laure dans cet escadron. Ensuite, là où j’ai été un peu déçu c’est sur le dessin. Pas sur la composition lui même, les personnage, les décors. Tout cela est d’un très bon niveau, mais sur les avions et certaines perspectives de ces derniers un peu hasardeuses. Le résultat n’est pas foncièrement mauvais, mais pour un "aficionado" d’aviation le rendu saute immédiatement aux yeux. Gageons que ce ne soit qu’un petit défaut corrigé dans la suite.
Voila, tout n’est pas rose mais cette nouvelle série n’est pas déplaisante non plus, l’héroïne est sympathique ( Laure, pas la drogue, non mais !) et puis j’ai bien apprécié le clin d’oeil à sa nouvelle identité, Johnson n’étant ni plus ni moins que le nom de famille de l’as des as de la Royal Air Force durant la seconde guerre mondiale. Comme quoi les petites histoires s’entremêlent avec la grande.
Par Eric, le 14 juin 2012
Dans la même série
LADY SPITFIRE