L'âge bête
1996. C’est l’année où Toy Story, Une nuit en enfer ou Bernie sont à l’affiche au cinéma. C’est aussi l’année d’Eels et des Spice Girls pour la chanson.
Et c’est surtout l’année où Jonathan a douze ans, il entre dans la période des années collège et lycée. C’est là qu’il va découvrir la loi de la jungle dans la cour de récréation…
Par berthold, le 8 janvier 2025
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9791038207172
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Notre avis sur L’âge bête
Après Petit Journal d’un gros fragile, Jonathan Munoz revient sur son adolescence avec les années collège et lycée dans cette nouvelle BD intitulée L’âge bête.
Dans cet album, Munoz relate quelques-unes de ses anecdotes concernant cette période de sa vie. Il y a, par exemple, la violence à l’école et les premiers émois amoureux. La façon dont il raconte son histoire est drôle. On s’amuse de ses péripéties et de ses galères. Mais on est ému lors de la scène de la perte de son père. C’est d’ailleurs l’un des moments les plus forts de cette bande dessinée.
Il est vrai que le lecteur va se reconnaître dans ces morceaux de vie, d’adolescence. Il y a de la nostalgie qui ressort de ces cases par moment. C’est fort bien écrit. L’auteur se dévoile aussi lors de certains passages intimes.
Munoz a un coup de crayon reconnaissable. C’est simple et efficace. C’est drôle mais aussi émouvant. C’est rythmé et rien n’est laissé au hasard dans la conception de ses pages.
L’âge bête est une bonne lecture qui nous rend nostalgique d’une certaine période et qui parvient aussi à nous amuser et à nous faire rire avec les moments de vie de l’auteur.
Par BERTHOLD, le 8 janvier 2025
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