LARGO WINCH
Les trois yeux des gardiens du tao

La division Aéronautique du groupe W est en situation de crise depuis de nombreuses années, et en signant une alliance avec la Tsai Industries, va s’accorder un avenir plus serein.
M. Tsai Huang, grand patron de la Tsai Industrie, veut absolument que le contrat soit signé par Largo Winch lui même. Ce dernier est totalement injoignable; il s’est octroyé quelques jours de vacances, totalement coupé du monde et dans un endroit que lui seul connait. L’alliance risque de capoter, et mettre en péril la division aéronautique.
Simon, seul à savoir comment le joindre, s’empresse de le faire.
C’est en Chine que Largo est obligé de retourner, malgré les déboires terribles qu’il y avait vécu quelques années auparavant.

Par aub, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur LARGO WINCH #15 – Les trois yeux des gardiens du tao

Et voilà déjà le 15ème tome des aventures de Largo Winch, et pour ma part je ne me lasse pas.
Ce nouveau dyptique commence très bien. C’est au milieu d’une Chine de nos jours que Largo va tenter de déjouer les pires plans, dans un scénario au rythme soutenu, l’action est à chaque page. Nous n’avons pas le temps de respirer que déjà Largo se précipite dans un tourbillon de rebondissements, entre les bagarres, les filles, les courses poursuites… Il ne manque rien à ce tome.
L’intrigue est une fois de plus mené d’une main de maitre. Un suptile mélange du passé de largo rend d’autant plus crédible cette suite par rapport aux tomes précédents.
J’apprécie beaucoup toute l’humanité de Largo dans sa vision des choses, de l’amour et de l’amitié. Largo pour ceux qui en douteraient encore, est  vraiment un aventurier des temps modernes au grand coeur, détenant une force morale à toute épreuve, même si …. "il n’est pas aussi fort qu’on le croit", et c’est vraiment ça qui fait que l’on s’attache à lui.

En tout cas, au delà de tout ce que l’on peut penser du côté commercial de ce genre de série à très grand succès, il n’en est pas moins que ce nouveau tome est très réussi, et qu’une fois de plus j’ai hâte de lire la suite.

Par AUB, le 25 février 2007

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