LARGO WINCH
L'Etoile du Matin
Yucatan. Largo Winch et Simon Ovronnaz ont retrouvé la piste d’Igor Maliakov qui avait proposé d’embaucher Simon et comptait se servir de lui pour coincer Largo. Winch veut lui parler, il espère qu’Igor videra son sac. Ils arrivent à le capturer. Il explique qu’il n’a fait qu’obéir aux ordres et Mais au moment ou il s’apprète à donner le nom de son commanditaire, Igor est tué. Simon et Largo ne peuvent rien faire de plus.
Pendant ce temps, à New York, à la bourse. Les valeurs du Dow Jones sont en train de chuter d’une manière incroyable. Et c’est le groupe Winch que l’on accuse…
Par berthold, le 9 octobre 2017
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782800168616
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Notre avis sur LARGO WINCH #21 – L’Etoile du Matin
Le dernier diptyque de la série m’avait beaucoup déçu. J’avais l’impression que le scénariste partait en vrille, que nous n’avions plus le Largo Winch que nous connaissions. Et puis j’apprends que Van Hamme n’écrira plus Winch. Philippe Francq coninuera l’aventure avec un nouveau scénariste.
Et je découvre qu’il s’agit d’Eric Giacometti. Là, je me suis dit que, quelque part, cet auteur peut apporter un plus aux prochaines histoires.
Et ma foi, ce vingt et unième tome ne m’a pas déçu. Nous y retrouvons le Winch du début, le Winch qui dit ce qu’il pense et qui a besoin de ses amis pour régler des problèmes, le Winch qui sait frapper quand il le faut.
L’intrigue est bien construite, complexe, bien menée. Giacometti nous surprend avec toutes ces embuches qu’il sème sur la route de Winch qui se fait de nouveaux ennemis et nous ne savons pas vraiment qui est derrière tout cela. Il nous donne un bon cliffhanger qui nous laisse en plein suspense. Il nous tarde de découvrir la suite.
C’est avec plaisir que nous retrouvons les personnages principaux et secondaires de la série. Il en crée même des nouveaux qui vont marquer les esprits.
Giacometti installe aussi quelques bons petits passages où l’humour déride un peu la tension du récit.
Quand à Francq, nous avons aussi l’impression qu’il semble avoir les coudés franches et qu’il est plus libre. Il nous régale avec de belles scènes d’action avec maestria, il maitrise les passages "bavards".
Une bonne surprise qui nous redonne gout aux aventures du célèbre millairdaire-aventurier !
Par BERTHOLD, le 9 octobre 2017